Le format, seize ou vingt équipes, du Mondial-2011 en Nouvelle-Zélande ne sera pas décidé avant avril, a déclaré lundi à Paris Syd Millar, président de l'International rugby board (IRB), qui a assuré qu'un succès commercial moindre qu'en 2007 ne serait pas nécessairement un problème. Le format, seize ou vingt équipes, du Mondial-2011 en Nouvelle-Zélande ne sera pas décidé avant avril, a déclaré lundi à Paris Syd Millar, président de l'International rugby board (IRB), qui a assuré qu'un succès commercial moindre qu'en 2007 ne serait pas nécessairement un problème. «La Nouvelle-Zélande est également contente d'organiser avec 16 ou 20 équipes, a assuré Millar. Elle n'a pas arrêté de position ferme, et cela ne se décidera pas au Conseil mondial (de l'IRB) qui se tiendra à la fin du Mondial (17-19 octobre à Paris). Cette décision ne sera pas prise avant avril et une réunion à Dublin.» La Fédération néo-zélandaise s'est déclarée favorable à une compétition à 16 équipes, qui aurait notamment l'avantage de réduire les contraintes de remplissage des stades. Certains observateurs estiment qu'il sera difficile de rééditer le succès du Mondial-2007 en France, en raison de l'éloignement géographique du pays organisateur, de sa situation insulaire et de la plus faible capacité de ses stades. "Si on considère qu'il ne faut attribuer la Coupe du monde qu'à ceux qui peuvent remplir les stades, on va se retrouver uniquement avec l'Angleterre, la France, l'Afrique du Sud et l'Australie", a déclaré Syd Millar. "Il ne faut pas réduire à ces critères, a-t-il souligné. Il faut peut-être accepter que cette compétition (2007) aura été une grande réussite cette fois, que la prochaine marchera peut-être moins bien, pas de beaucoup. Mais c'est un jeu global, mondial." "(En Nouvelle-Zélande) La population entière achèterait les billets, a-t-il rassuré. Comme ils l'ont dit eux-mêmes, la Nouvelle-Zélande ne serait qu'un seul immense stade pour la Coupe du monde. Il y aura donc le même engagement des populations d'Australie et de Nouvelle-Zélande, comme on l'a eu en France." Selon le comité d'organisation du Mondial-2007, le taux de remplissage des stades est de 90% jusqu'aux quarts de finale et la compétition a permis d'accueillir 400.000 visiteurs étrangers lors du premier mois de compétition en France, pays de Galles et Ecosse, contre 80.000 en 2003 en Australie. «La Nouvelle-Zélande est également contente d'organiser avec 16 ou 20 équipes, a assuré Millar. Elle n'a pas arrêté de position ferme, et cela ne se décidera pas au Conseil mondial (de l'IRB) qui se tiendra à la fin du Mondial (17-19 octobre à Paris). Cette décision ne sera pas prise avant avril et une réunion à Dublin.» La Fédération néo-zélandaise s'est déclarée favorable à une compétition à 16 équipes, qui aurait notamment l'avantage de réduire les contraintes de remplissage des stades. Certains observateurs estiment qu'il sera difficile de rééditer le succès du Mondial-2007 en France, en raison de l'éloignement géographique du pays organisateur, de sa situation insulaire et de la plus faible capacité de ses stades. "Si on considère qu'il ne faut attribuer la Coupe du monde qu'à ceux qui peuvent remplir les stades, on va se retrouver uniquement avec l'Angleterre, la France, l'Afrique du Sud et l'Australie", a déclaré Syd Millar. "Il ne faut pas réduire à ces critères, a-t-il souligné. Il faut peut-être accepter que cette compétition (2007) aura été une grande réussite cette fois, que la prochaine marchera peut-être moins bien, pas de beaucoup. Mais c'est un jeu global, mondial." "(En Nouvelle-Zélande) La population entière achèterait les billets, a-t-il rassuré. Comme ils l'ont dit eux-mêmes, la Nouvelle-Zélande ne serait qu'un seul immense stade pour la Coupe du monde. Il y aura donc le même engagement des populations d'Australie et de Nouvelle-Zélande, comme on l'a eu en France." Selon le comité d'organisation du Mondial-2007, le taux de remplissage des stades est de 90% jusqu'aux quarts de finale et la compétition a permis d'accueillir 400.000 visiteurs étrangers lors du premier mois de compétition en France, pays de Galles et Ecosse, contre 80.000 en 2003 en Australie.