Un forum d'affaires et d'investissements arabes aura lieu en janvier prochain sous l'égide de la Chambre algérienne du commerce et d'industrie (CACI), a-t-on appris auprès de cette dernière. Un forum d'affaires et d'investissements arabes aura lieu en janvier prochain sous l'égide de la Chambre algérienne du commerce et d'industrie (CACI), a-t-on appris auprès de cette dernière. Cette manifestation économique qui intervient à la suite d'une série de rencontres et de visites, verra la participation de plusieurs hommes d'affaires et investisseurs arabes intéressés par des projets d'investissements en Algérie. Cette initiative intervient également dans une conjoncture économique favorable, marquée par une augmentation du volume des investissements arabes hors hydrocarbures et qui ont dépassé les 10 milliards de dollars selon des estimations officielles, dans plusieurs secteurs d'activité. Les hommes d'affaires arabes avaient, dans l'ensemble, mis en exergue, lors du forum organisé en novembre de l'année dernière, l'attractivité du marché algérien et estimé qu'avec ses nombreux atouts et quelques réglages dans l'environnement des affaires, il pourrait constituer un vrai pôle d'investissements dans la région. Ils ont estimé que le climat des affaires en Algérie est aujourd'hui très favorable, citant le grand potentiel de l'Algérie, notamment dans les secteurs de l'agriculture, de l'agroalimentaire et du tourisme, des créneaux qui, selon eux, devraient se situer en tête des investissements étrangers en Algérie. Ils ont également mis en avant les possibilités existant dans l'exploitation des eaux minérales algériennes dont la qualité est "l'une des meilleures au monde". En revanche, ils n'ont pas omis de relever, au passage, les contraintes pouvant affecter la réalisation de projets en Algérie, à l'image du système bancaire, jugé "trop fermé" et des lenteurs administratives qui constituent autant d'entraves pour l'investissement en Algérie. Ils ont fait admettre, à ce propos, que les banques algériennes sont trop lentes par rapport à ce qui se fait actuellement dans le Monde arabe, citant de nombreuses défaillances dans le système bancaire algérien, dont la plus visible est l'absence de vrais banquiers formés pour le métier de la banque. C'est la raison pour laquelle les hommes d'affaires arabes ont insisté sur l'importance d'accélérer le rythme des réformes menées et de renforcer le partenariat public et privé dans les pays arabes. Ils ont préconisé notamment la réalisation de projets dans les domaines stratégiques de l'énergie, de l'eau, de l'habitat et du transport ferroviaire, tout en encourageant davantage de complémentarité entre les économies du Maghreb et du Machrek arabes par le biais de la promotion des échanges commerciaux entre ces deux régions et la valorisation du potentiel industriel existant. A l'adresse des gouvernements arabes, ils ont appelé à plus d'efforts, afin d'aplanir les obstacles qui continuent de freiner la promotion du commerce entre les Etats arabes, tout en exprimant leur soutien aux initiatives visant à la création de sociétés mixtes arabes, notamment dans les secteurs des banques, du transport aérien, des assurances et dans l'industrie légère. Cette manifestation économique qui intervient à la suite d'une série de rencontres et de visites, verra la participation de plusieurs hommes d'affaires et investisseurs arabes intéressés par des projets d'investissements en Algérie. Cette initiative intervient également dans une conjoncture économique favorable, marquée par une augmentation du volume des investissements arabes hors hydrocarbures et qui ont dépassé les 10 milliards de dollars selon des estimations officielles, dans plusieurs secteurs d'activité. Les hommes d'affaires arabes avaient, dans l'ensemble, mis en exergue, lors du forum organisé en novembre de l'année dernière, l'attractivité du marché algérien et estimé qu'avec ses nombreux atouts et quelques réglages dans l'environnement des affaires, il pourrait constituer un vrai pôle d'investissements dans la région. Ils ont estimé que le climat des affaires en Algérie est aujourd'hui très favorable, citant le grand potentiel de l'Algérie, notamment dans les secteurs de l'agriculture, de l'agroalimentaire et du tourisme, des créneaux qui, selon eux, devraient se situer en tête des investissements étrangers en Algérie. Ils ont également mis en avant les possibilités existant dans l'exploitation des eaux minérales algériennes dont la qualité est "l'une des meilleures au monde". En revanche, ils n'ont pas omis de relever, au passage, les contraintes pouvant affecter la réalisation de projets en Algérie, à l'image du système bancaire, jugé "trop fermé" et des lenteurs administratives qui constituent autant d'entraves pour l'investissement en Algérie. Ils ont fait admettre, à ce propos, que les banques algériennes sont trop lentes par rapport à ce qui se fait actuellement dans le Monde arabe, citant de nombreuses défaillances dans le système bancaire algérien, dont la plus visible est l'absence de vrais banquiers formés pour le métier de la banque. C'est la raison pour laquelle les hommes d'affaires arabes ont insisté sur l'importance d'accélérer le rythme des réformes menées et de renforcer le partenariat public et privé dans les pays arabes. Ils ont préconisé notamment la réalisation de projets dans les domaines stratégiques de l'énergie, de l'eau, de l'habitat et du transport ferroviaire, tout en encourageant davantage de complémentarité entre les économies du Maghreb et du Machrek arabes par le biais de la promotion des échanges commerciaux entre ces deux régions et la valorisation du potentiel industriel existant. A l'adresse des gouvernements arabes, ils ont appelé à plus d'efforts, afin d'aplanir les obstacles qui continuent de freiner la promotion du commerce entre les Etats arabes, tout en exprimant leur soutien aux initiatives visant à la création de sociétés mixtes arabes, notamment dans les secteurs des banques, du transport aérien, des assurances et dans l'industrie légère.