Les travaux de réalisation d'une tour de 16 étages sur les parties communes de la Cité 102 logements à Sidi Yahia ont soulevé le tollé des résidants, propriétaires légitimes des espaces. Ces derniers ont, dans une correspondance adressée à notre rédaction, argumenté leurs doléances par le fait que «les travaux ont été effectués sans enquête auprès des riverains (comodo et incomodo)», ajoutant que «ces travaux réalisés sur les espaces verts et aires de jeux pour enfants, sans une consultation préalable des riverains, constituent une atteinte à des droits déjà acquis par des personnes privées». Il y a lieu de se demander comment un entrepreneur aurait-il eu une autorisation de construire sur une assiette de terrain déjà attribuée et qui, dans le même sillage, impose un restriction des espaces et aires de jeux. Dans un autre passage, les locataires, très en colère, font état «d'obstruction des voies d'accès et création de danger potentiel ainsi que d'une déstabilisation de l'ossature de l'immeuble 03 par les fouilles destinées aux fondements de la tour, découlant des travaux effectués». De plus, on affirme que la tour actuellement en construction pénaliserait les locataires en produisant un étouffement du site. Ce dernier sera caractérisé par une forte densité d'habitations, ainsi que par le rétrécissement des espaces vitaux comme les escaliers, les parkings et les aires de jeux. Qui a délivré le permis de construire que les habitants n'hésitent pas à qualifier de non conforme aux lois régissant le secteur de l'habitat ? L'entrepreneur, que nous n'avons pas eu l'occasion de rencontrer, bénéficie-t-il d'un appui au niveau de la daïra ou de l'APC? Il y a là matière à s'interroger sur la légitimité de ces travaux et sur les raisons qui ont conduit cet entrepreneur à « élever une tour de 16 étages au centre d'une cité et piétiner les espaces». Les autorité locales sont interpellées par les co-propriétaire de la cité 102 logements aux fins de leur donner des explications. En tous cas, les citoyens qui s'estiment lésés disent être résolus à aller au bout de leurs doléances «et mettre fin à cette honteuse expropriation et à l'impunité dont semble jouir l'entrepreneur». Et d'ajouter : «Nous prions le responsable de cet état de fait, d'ordonner l'arrêt immédiat des travaux.» Les travaux de réalisation d'une tour de 16 étages sur les parties communes de la Cité 102 logements à Sidi Yahia ont soulevé le tollé des résidants, propriétaires légitimes des espaces. Ces derniers ont, dans une correspondance adressée à notre rédaction, argumenté leurs doléances par le fait que «les travaux ont été effectués sans enquête auprès des riverains (comodo et incomodo)», ajoutant que «ces travaux réalisés sur les espaces verts et aires de jeux pour enfants, sans une consultation préalable des riverains, constituent une atteinte à des droits déjà acquis par des personnes privées». Il y a lieu de se demander comment un entrepreneur aurait-il eu une autorisation de construire sur une assiette de terrain déjà attribuée et qui, dans le même sillage, impose un restriction des espaces et aires de jeux. Dans un autre passage, les locataires, très en colère, font état «d'obstruction des voies d'accès et création de danger potentiel ainsi que d'une déstabilisation de l'ossature de l'immeuble 03 par les fouilles destinées aux fondements de la tour, découlant des travaux effectués». De plus, on affirme que la tour actuellement en construction pénaliserait les locataires en produisant un étouffement du site. Ce dernier sera caractérisé par une forte densité d'habitations, ainsi que par le rétrécissement des espaces vitaux comme les escaliers, les parkings et les aires de jeux. Qui a délivré le permis de construire que les habitants n'hésitent pas à qualifier de non conforme aux lois régissant le secteur de l'habitat ? L'entrepreneur, que nous n'avons pas eu l'occasion de rencontrer, bénéficie-t-il d'un appui au niveau de la daïra ou de l'APC? Il y a là matière à s'interroger sur la légitimité de ces travaux et sur les raisons qui ont conduit cet entrepreneur à « élever une tour de 16 étages au centre d'une cité et piétiner les espaces». Les autorité locales sont interpellées par les co-propriétaire de la cité 102 logements aux fins de leur donner des explications. En tous cas, les citoyens qui s'estiment lésés disent être résolus à aller au bout de leurs doléances «et mettre fin à cette honteuse expropriation et à l'impunité dont semble jouir l'entrepreneur». Et d'ajouter : «Nous prions le responsable de cet état de fait, d'ordonner l'arrêt immédiat des travaux.»