En Algérie, le nombre de femmes occupant des postes de travail dépasse 1,2 million dont 600 d'entre elles dirigent des entreprises ou assument des responsabilités. Les principaux secteurs d'activité dans lesquels on retrouve la gent féminine sont l'éducation, la médecine et les différents corps d'Etat, tels que la magistrature (de nombreuses femmes sont avocates ou juges), la douane, la police (9.000 policières). Cependant, les femmes ne représentent que 15 % de la population active du pays, en dépit de la tendance croissante de cette catégorie de la population à briguer des fonctions importantes dans les sphères politique et économique, et des postes-clés dans l'administration. Aujourd'hui, elles sont de plus en plus présentes au Parlement ainsi que dans les listes des candidats aux différentes élections. Cela montre le degré de représentativité de la femme dans la vie politique du pays. Le Président Bouteflika a affirmé récemment au sommet du G8 (pays les plus industrialisés) que «outre le droit de vote et l'égalité salariale instaurés depuis l'Indépendance, l'élément féminin représente en Algérie plus de 50 % de l'effectif universitaire, plus de 60 % du corps médical, plus de 30 % de l'effectif des magistrats et plus de 55 % des journalistes». Par ailleurs, le nombre de femmes exerçant des activités commerciales a atteint plus de 94.000 ces dernières années. De plus en plus, les femmes deviennent responsables d'entreprise. Selon le ministre de la Solidarité nationale, plus de 75 % des bénéficiaires du dispositif de l'Agence nationale de gestion du micro-crédit (ANGEM) sont des femmes. Le ministre délégué au Développement rural, quant à lui, estime que «le programme du gouvernement pour le renouveau rural allant de 2005 à 2013, accorde une place de choix à la femme représentant aujourd'hui 6,5 millions par rapport à la population totale». Le Chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, estime pour sa part que «le rôle de la femme algérienne, tant au niveau de la structure familiale qu'au niveau de toute la société, est important». Il rappelle également que «la femme algérienne occupe de hauts postes dans tous les domaines, sans exception». En Algérie, le nombre de femmes occupant des postes de travail dépasse 1,2 million dont 600 d'entre elles dirigent des entreprises ou assument des responsabilités. Les principaux secteurs d'activité dans lesquels on retrouve la gent féminine sont l'éducation, la médecine et les différents corps d'Etat, tels que la magistrature (de nombreuses femmes sont avocates ou juges), la douane, la police (9.000 policières). Cependant, les femmes ne représentent que 15 % de la population active du pays, en dépit de la tendance croissante de cette catégorie de la population à briguer des fonctions importantes dans les sphères politique et économique, et des postes-clés dans l'administration. Aujourd'hui, elles sont de plus en plus présentes au Parlement ainsi que dans les listes des candidats aux différentes élections. Cela montre le degré de représentativité de la femme dans la vie politique du pays. Le Président Bouteflika a affirmé récemment au sommet du G8 (pays les plus industrialisés) que «outre le droit de vote et l'égalité salariale instaurés depuis l'Indépendance, l'élément féminin représente en Algérie plus de 50 % de l'effectif universitaire, plus de 60 % du corps médical, plus de 30 % de l'effectif des magistrats et plus de 55 % des journalistes». Par ailleurs, le nombre de femmes exerçant des activités commerciales a atteint plus de 94.000 ces dernières années. De plus en plus, les femmes deviennent responsables d'entreprise. Selon le ministre de la Solidarité nationale, plus de 75 % des bénéficiaires du dispositif de l'Agence nationale de gestion du micro-crédit (ANGEM) sont des femmes. Le ministre délégué au Développement rural, quant à lui, estime que «le programme du gouvernement pour le renouveau rural allant de 2005 à 2013, accorde une place de choix à la femme représentant aujourd'hui 6,5 millions par rapport à la population totale». Le Chef du gouvernement, Abdelaziz Belkhadem, estime pour sa part que «le rôle de la femme algérienne, tant au niveau de la structure familiale qu'au niveau de toute la société, est important». Il rappelle également que «la femme algérienne occupe de hauts postes dans tous les domaines, sans exception».