A l'occasion de la célébration du double anniversaire du Printemps amazigh et du Printemps noir, le Mouvement citoyen des archs vient de réitérer, via une déclaration rendue publique, dans la journée d'hier, son attachement à ces deux dates symboliques qui constituent, selon lui, une station historique pour rappeler le combat identitaire et démocratique mené par plusieurs générations de militants. «Cette année encore, cette commémoration intervient dans un contexte délétère, marqué par une instabilité sociale endémique d'une part, et d'autre part par une régression politique mise à profit par le système pour donner substance à des velléités de normalisation staliniennes», lit-on dans la déclaration dans laquelle il est souligné, également, que «vingt-huit ans après le Printemps berbère et sept longues années après les douloureux événements du Printemps noir, la problématique du non-respect des droits de l'Homme et de la démocratie demeure entière». Les archs ont dressé un tableau noir de la situation générale du pays, enregistrant un constat de carences allant, entre autres, «d'une presse sous contrôle, une langue amazighe maintenue toujours à l'état embryonnaire, une justice instrumentalisée, une corruption institutionnalisée, des droits socio-économiques qui renvoient à une situation des plus lamentables et un traitement répressif qui semble être privilégié aussi bien à l'égard des contestations syndicales que des protestations citoyennes». Le Mouvement citoyen dénonce, à travers sa déclaration, «toutes formes d'intimidation exercées à l'encontre de la société civile et exige la libération et l'acquittement de tous les jeunes récemment arrêtés ou poursuivis pour avoir exprimé leur colère légitime à travers des émeutes et des manifestations». Par ailleurs, les archs réitèrent, encore une fois, leur appel aux pouvoirs politiques et à leur tête le chef de l'Etat, pour «la relance du processus de mise en œuvre de la plateforme d'El-Kseur, seule alternative sérieuse susceptible de faire asseoir une véritable république démocratique et sociale et d'éviter au pays le chaos à répétition». A l'occasion de la célébration du double anniversaire du Printemps amazigh et du Printemps noir, le Mouvement citoyen des archs vient de réitérer, via une déclaration rendue publique, dans la journée d'hier, son attachement à ces deux dates symboliques qui constituent, selon lui, une station historique pour rappeler le combat identitaire et démocratique mené par plusieurs générations de militants. «Cette année encore, cette commémoration intervient dans un contexte délétère, marqué par une instabilité sociale endémique d'une part, et d'autre part par une régression politique mise à profit par le système pour donner substance à des velléités de normalisation staliniennes», lit-on dans la déclaration dans laquelle il est souligné, également, que «vingt-huit ans après le Printemps berbère et sept longues années après les douloureux événements du Printemps noir, la problématique du non-respect des droits de l'Homme et de la démocratie demeure entière». Les archs ont dressé un tableau noir de la situation générale du pays, enregistrant un constat de carences allant, entre autres, «d'une presse sous contrôle, une langue amazighe maintenue toujours à l'état embryonnaire, une justice instrumentalisée, une corruption institutionnalisée, des droits socio-économiques qui renvoient à une situation des plus lamentables et un traitement répressif qui semble être privilégié aussi bien à l'égard des contestations syndicales que des protestations citoyennes». Le Mouvement citoyen dénonce, à travers sa déclaration, «toutes formes d'intimidation exercées à l'encontre de la société civile et exige la libération et l'acquittement de tous les jeunes récemment arrêtés ou poursuivis pour avoir exprimé leur colère légitime à travers des émeutes et des manifestations». Par ailleurs, les archs réitèrent, encore une fois, leur appel aux pouvoirs politiques et à leur tête le chef de l'Etat, pour «la relance du processus de mise en œuvre de la plateforme d'El-Kseur, seule alternative sérieuse susceptible de faire asseoir une véritable république démocratique et sociale et d'éviter au pays le chaos à répétition».