L'artiste peintre Souhila Belbahar expose depuis vendredi et pour une vingtaine de jours ses oeuvres au musée «Nasr Eddine Dinet» de Bousaâda. Intitulée «palette passion, palette devenir», l'exposition renferme une vingtaine de toiles de cette artiste qui ne cache pas son admiration pour l'oeuvre de Delacroix et, comme lui, consacre plusieurs de ses tableaux à la femme algérienne. La mer, la mosquée de Ketchaoua, le phare d'Alger et les bijoux traditionnels tel Rdif, El-mikias et autres boucles d'oreille sont également présents dans l'oeuvre de cette artiste de la ville de Blida qui marque son appartenance et attachement à ville des roses par l'exposition de plusieurs bouquets de fleurs agencés et assemblés avec délicatesse. Pour la directrice du musée Dinet, cette exposition qui est la deuxième de l'artiste en ce lieu, «est un salut à un demi-siècle de service à l'art et au talent d'une femme qui a réussi à imposer son génie à une période durant laquelle il n'était pas facile pour une femme de se dire artiste». Mohamed Massène, peintre et critique d'art, souligne la finesse des toiles de cette artiste dont les appellations mêmes portent, selon lui, des senteurs d'un autre temps comme «Ashab el baroude», «el medahate» et «echatahate». La première exposition de Souhila Belbahar remonte à 1972. L'artiste peintre Souhila Belbahar expose depuis vendredi et pour une vingtaine de jours ses oeuvres au musée «Nasr Eddine Dinet» de Bousaâda. Intitulée «palette passion, palette devenir», l'exposition renferme une vingtaine de toiles de cette artiste qui ne cache pas son admiration pour l'oeuvre de Delacroix et, comme lui, consacre plusieurs de ses tableaux à la femme algérienne. La mer, la mosquée de Ketchaoua, le phare d'Alger et les bijoux traditionnels tel Rdif, El-mikias et autres boucles d'oreille sont également présents dans l'oeuvre de cette artiste de la ville de Blida qui marque son appartenance et attachement à ville des roses par l'exposition de plusieurs bouquets de fleurs agencés et assemblés avec délicatesse. Pour la directrice du musée Dinet, cette exposition qui est la deuxième de l'artiste en ce lieu, «est un salut à un demi-siècle de service à l'art et au talent d'une femme qui a réussi à imposer son génie à une période durant laquelle il n'était pas facile pour une femme de se dire artiste». Mohamed Massène, peintre et critique d'art, souligne la finesse des toiles de cette artiste dont les appellations mêmes portent, selon lui, des senteurs d'un autre temps comme «Ashab el baroude», «el medahate» et «echatahate». La première exposition de Souhila Belbahar remonte à 1972.
