Les prix vont chuter dans les prochains jours, selon les prévisions du ministre du Commerce qui se place à contre-courant des avis des ménages. A en croire les déclarations qu'il a faites dans un point de presse clôturant une visite de travail à Ain-Témouchent, la hausse des prix des produits de consommation serait, pour lui, une vue de l'esprit de certains. «Tous les autres produits, hors la laitue, sont disponibles et sont cédés à des prix très en deçà de ceux pratiqués l'année dernière en pareille période», a-t-il relevé fièrement citant, à ce propos, le cas de la pomme de terre vendue entre 25 et 35 DA, contre 70 DA l'an dernier, rappelant que 120.000 tonnes de ce produit ont été stockées en chambre froide. Pour le premier responsable du commerce, la hausse des prix constatée durant les premiers jours du mois de Ramadhan, «résulte de la forte demande» sur les produits de consommation. El Hachemi Djaaboub s'en tient à ses déclarations de la veille du début du mois sacré où il avait prédit que les premiers jours de Ramadhan seront difficiles pour les ménagères sur le volet des prix en raison de cette forte demande sur les produits de consommation. Il n'y a pas lieu de s'alarmer. Cette situation, a-t-il précisé, "sera régulée dès la semaine prochaine devant la grande disponibilité des fruits et légumes, ainsi que des différents produits alimentaires. Les citoyens ont également un rôle à jouer pour stabiliser les prix», selon El Hachemi Djaaboub, qui a mis l'accent sur l'importance du «comportement des consommateurs et de son influence sur les prix». Il a, dans ce cadre, plaidé et insisté sur la nécessité d'une rationalité dans les achats et l'évitement de tout gaspillage. Et au patron du département du Commerce de rappeler les lois du libre marché. La mercuriale, a-t-il souligné «fonctionne à partir de l'offre et de la demande», avant d'affirmer que son département suit régulièrement l'évolution des prix dans toutes les wilayas pour établir la moyenne nationale pondérée. Sans autre explication du ministre. Une moyenne nationale pondérée des prix qui permettrait, peut-être, de mieux réguler le marché et de lutter efficacement contre l'anarchie et la spéculation constatées dans le secteur des produits de large consommation. Les prix vont chuter dans les prochains jours, selon les prévisions du ministre du Commerce qui se place à contre-courant des avis des ménages. A en croire les déclarations qu'il a faites dans un point de presse clôturant une visite de travail à Ain-Témouchent, la hausse des prix des produits de consommation serait, pour lui, une vue de l'esprit de certains. «Tous les autres produits, hors la laitue, sont disponibles et sont cédés à des prix très en deçà de ceux pratiqués l'année dernière en pareille période», a-t-il relevé fièrement citant, à ce propos, le cas de la pomme de terre vendue entre 25 et 35 DA, contre 70 DA l'an dernier, rappelant que 120.000 tonnes de ce produit ont été stockées en chambre froide. Pour le premier responsable du commerce, la hausse des prix constatée durant les premiers jours du mois de Ramadhan, «résulte de la forte demande» sur les produits de consommation. El Hachemi Djaaboub s'en tient à ses déclarations de la veille du début du mois sacré où il avait prédit que les premiers jours de Ramadhan seront difficiles pour les ménagères sur le volet des prix en raison de cette forte demande sur les produits de consommation. Il n'y a pas lieu de s'alarmer. Cette situation, a-t-il précisé, "sera régulée dès la semaine prochaine devant la grande disponibilité des fruits et légumes, ainsi que des différents produits alimentaires. Les citoyens ont également un rôle à jouer pour stabiliser les prix», selon El Hachemi Djaaboub, qui a mis l'accent sur l'importance du «comportement des consommateurs et de son influence sur les prix». Il a, dans ce cadre, plaidé et insisté sur la nécessité d'une rationalité dans les achats et l'évitement de tout gaspillage. Et au patron du département du Commerce de rappeler les lois du libre marché. La mercuriale, a-t-il souligné «fonctionne à partir de l'offre et de la demande», avant d'affirmer que son département suit régulièrement l'évolution des prix dans toutes les wilayas pour établir la moyenne nationale pondérée. Sans autre explication du ministre. Une moyenne nationale pondérée des prix qui permettrait, peut-être, de mieux réguler le marché et de lutter efficacement contre l'anarchie et la spéculation constatées dans le secteur des produits de large consommation.