Le chairman de Blida ne veut pas lâcher son coach Abdelkader Amrani. Il n'a pas hésité un instant à crier haut et fort qu'il le soutient à 100%. Le président Zaïm n'a pas caché sa colère vis-à-vis du public qui avait montré sa colère après la défaite lors de la dernière journée contre le Nasria. Le chairman de Blida ne veut pas lâcher son coach Abdelkader Amrani. Il n'a pas hésité un instant à crier haut et fort qu'il le soutient à 100%. Le président Zaïm n'a pas caché sa colère vis-à-vis du public qui avait montré sa colère après la défaite lors de la dernière journée contre le Nasria. D'ailleurs ce jour là, Zaïm avait lâché : « Moi aussi, je ne tolère pas qu'on m'insulte. Je comprends très bien la réaction du coach. D'ailleurs si ça continue ainsi, moi aussi je pars. » Mais après quelques jours de repos, le président est allé voir son entraîneur pour lui montrer que l'USMB tient à lui. A sa sortie de l'entretien avec Amrani, on a contacté le président Zaïm afin d'avoir des renseignements sur l'avenir d'Amrani à Blida. Zaïm tout heureux dira : «Dieu merci, j'ai pu convaincre Amrani de rester. C'est un coach de renom qui a roulait sa bosse. Depuis, son arrivée, il ne ménage pas d'effort pour trouver l'équipe type. Je pense que ce n'est pas la fin du monde d'avoir perdu chez soi. Il faut juste se remettre au travail. Retrousser les manches lors de cette trêve pour sortir indemne de ce passage à vide qu'on vit actuellement. Après que la colère fut dissipé, j'ai rencontré Amrani, on a discuté. Et il est prêt à tenter une autre chance avec nous. Donc, Amrani reste. » Ainsi, pour le moment, l'USMB ne va pas changé de coach ! Amrani : «Je déciderai après l'Aïd» Quand il avait pris les rênes de la barre technique des Vert et Blanc l'été dernier, Amrani avait trouvé un effectif qui ne promettait pas un avenir glorieux. Pour la simple raison, que le groupe était en majorité composé de joueurs qui n'ont jamais évolué en D1. Néanmoins, Il a pris le risque et a voulu construire dans le long terme une équipe qui donnera à Blida son vrai football. Comme prévu, les résultats n'allaient pas être une série de victoires, puisque l'équipe a été remaniée à 90%. Mais, les dévots de la balle ronde des Vert et Blanc, sont pressés de voir leur équipe cracher le feu. Ils n'ont pas ménagé Amrani lors du match de jeudi dernier à domicile face au NAHD. Ils ont montré leur dévolu en s'appuyant sur la violence et les insultes qui fusaient sur le stade de Tchaker. Même Amrani a eu sa part d'insultes. Il a été traité de tous les noms d'oiseaux. Il avait passé un sale après midi ce jour-là, d'où la décision de jeter l'éponge. Car, comme il avait dit : « Je suis un entraîneur qui travaile avec âme et conscience . Je ne triche pas. Je me donne à 100% dans mon travail. Mais, ce que je n'accepte pas, c'est les insultes. Ca, je ne l'accepterais jamais. Le président est venu me parler. Il a été vraiment correct. Je lui ai fait savoir que j'ai été malmené, mais son discours a été comme un baume au cœur. Pour le moment, je n'ai pas pris de décision finale. Je passe la fête de l'Aïd, après quoi, on verra. » M.Y. D'ailleurs ce jour là, Zaïm avait lâché : « Moi aussi, je ne tolère pas qu'on m'insulte. Je comprends très bien la réaction du coach. D'ailleurs si ça continue ainsi, moi aussi je pars. » Mais après quelques jours de repos, le président est allé voir son entraîneur pour lui montrer que l'USMB tient à lui. A sa sortie de l'entretien avec Amrani, on a contacté le président Zaïm afin d'avoir des renseignements sur l'avenir d'Amrani à Blida. Zaïm tout heureux dira : «Dieu merci, j'ai pu convaincre Amrani de rester. C'est un coach de renom qui a roulait sa bosse. Depuis, son arrivée, il ne ménage pas d'effort pour trouver l'équipe type. Je pense que ce n'est pas la fin du monde d'avoir perdu chez soi. Il faut juste se remettre au travail. Retrousser les manches lors de cette trêve pour sortir indemne de ce passage à vide qu'on vit actuellement. Après que la colère fut dissipé, j'ai rencontré Amrani, on a discuté. Et il est prêt à tenter une autre chance avec nous. Donc, Amrani reste. » Ainsi, pour le moment, l'USMB ne va pas changé de coach ! Amrani : «Je déciderai après l'Aïd» Quand il avait pris les rênes de la barre technique des Vert et Blanc l'été dernier, Amrani avait trouvé un effectif qui ne promettait pas un avenir glorieux. Pour la simple raison, que le groupe était en majorité composé de joueurs qui n'ont jamais évolué en D1. Néanmoins, Il a pris le risque et a voulu construire dans le long terme une équipe qui donnera à Blida son vrai football. Comme prévu, les résultats n'allaient pas être une série de victoires, puisque l'équipe a été remaniée à 90%. Mais, les dévots de la balle ronde des Vert et Blanc, sont pressés de voir leur équipe cracher le feu. Ils n'ont pas ménagé Amrani lors du match de jeudi dernier à domicile face au NAHD. Ils ont montré leur dévolu en s'appuyant sur la violence et les insultes qui fusaient sur le stade de Tchaker. Même Amrani a eu sa part d'insultes. Il a été traité de tous les noms d'oiseaux. Il avait passé un sale après midi ce jour-là, d'où la décision de jeter l'éponge. Car, comme il avait dit : « Je suis un entraîneur qui travaile avec âme et conscience . Je ne triche pas. Je me donne à 100% dans mon travail. Mais, ce que je n'accepte pas, c'est les insultes. Ca, je ne l'accepterais jamais. Le président est venu me parler. Il a été vraiment correct. Je lui ai fait savoir que j'ai été malmené, mais son discours a été comme un baume au cœur. Pour le moment, je n'ai pas pris de décision finale. Je passe la fête de l'Aïd, après quoi, on verra. » M.Y.