Quarante-cinq entreprises algériennes de différents secteurs prendront part à la huitième édition de la Convention France-Maghreb qui aura lieu les 05 et 06 février prochain à Paris. Elle sera animée conjointement par les deux partenaires, le français Optimexport et la Confédération algérienne du patronat (CAP). Conférences et expositions seront au menu dans cet espace du business et des relations d'affaires et de partenariat dans les domaines sociaux économiques entre la France et les pays du Maghreb. La présence de personnalités distinguées dans le monde des affaires est également très attendue, en plus de la centaine de congressistes et d'exposants dans les secteurs du bâtiment, des travaux publics, de l'hydraulique, du textile, de la santé, de l'agroalimentaire, de la logistique et des transport, de la restauration, de la promotion immobilière, de l'aviculture…venus de France et de différents pays maghrébin et européen. D'autant plus que le Maghreb vient d'enregistrer, cette année, et à l'encontre de beaucoup d'autres régions de par le monde (crise économique oblige), un taux de croissance économique moyen estimé à six pour cent. C'est d'ailleurs une croissance assez significative, d'après les spécialistes en la matière, et qui fera de la région maghrébine une destination privilégiée pour nombre d'investisseurs. En effet, les opportunités d'investissement, en France tout comme dans les pays du Maghreb (Algérie, Maroc, Tunisie, Libye et Mauritanie), connaîtront un certain rebondissement, selon un communiqué de la SIRA, la branche représentative de la Convention en Algérie. C'est, en tout cas, ce que souhaitent beaucoup de professionnels algériens qui ont monté des entreprises dans l'Hexagone et qui sont dans l'attente de pouvoir transférer leurs affaires vers l'Algérie. D'autres compétences attendent aussi cette convention comme une aubaine, dans l'espoir d'arracher des contrats, en France ou ailleurs, et d'établir des rapports de collaboration pour faire émerger la région maghrébine et l'Algérie en particulier sur différents plans. C'est ce qui a été affirmé dans l'intervention de M. Mohamed El Ouahdoudi, président de la Convention France-Maghreb, selon lequel « Il ne faut pas se focaliser forcément sur les grands groupes quand il s'agit de promouvoir l'investissement en Algérie. Mieux vaut mille petites entreprises qui investissent en créant des centaines d'emplois et qui facilitent la redistribution des valeurs créées », et d'ajouter : « Aidons donc les entrepreneurs maghrébins à investir en Algérie, en facilitant les démarches administratives et en leur apportant des concours ciblés ». On signale, par ailleurs, que M. Paul Balta, l'éminent spécialiste du Maghreb et du Monde arabe, aura à intervenir, en animant une conférence, sur le projet de l'Union pour la Méditerranée, conçu, rappelons-le, par le président français Nicolas Sarkozy en 2007 et qui est resté à l'état de chantier. Enfin, les affairistes, d'Algérie ou d'ailleurs attendent beaucoup de cette convention et espèrent que l'édition de cette année puisse réussir là où les précédentes ont échoué. M. S. Quarante-cinq entreprises algériennes de différents secteurs prendront part à la huitième édition de la Convention France-Maghreb qui aura lieu les 05 et 06 février prochain à Paris. Elle sera animée conjointement par les deux partenaires, le français Optimexport et la Confédération algérienne du patronat (CAP). Conférences et expositions seront au menu dans cet espace du business et des relations d'affaires et de partenariat dans les domaines sociaux économiques entre la France et les pays du Maghreb. La présence de personnalités distinguées dans le monde des affaires est également très attendue, en plus de la centaine de congressistes et d'exposants dans les secteurs du bâtiment, des travaux publics, de l'hydraulique, du textile, de la santé, de l'agroalimentaire, de la logistique et des transport, de la restauration, de la promotion immobilière, de l'aviculture…venus de France et de différents pays maghrébin et européen. D'autant plus que le Maghreb vient d'enregistrer, cette année, et à l'encontre de beaucoup d'autres régions de par le monde (crise économique oblige), un taux de croissance économique moyen estimé à six pour cent. C'est d'ailleurs une croissance assez significative, d'après les spécialistes en la matière, et qui fera de la région maghrébine une destination privilégiée pour nombre d'investisseurs. En effet, les opportunités d'investissement, en France tout comme dans les pays du Maghreb (Algérie, Maroc, Tunisie, Libye et Mauritanie), connaîtront un certain rebondissement, selon un communiqué de la SIRA, la branche représentative de la Convention en Algérie. C'est, en tout cas, ce que souhaitent beaucoup de professionnels algériens qui ont monté des entreprises dans l'Hexagone et qui sont dans l'attente de pouvoir transférer leurs affaires vers l'Algérie. D'autres compétences attendent aussi cette convention comme une aubaine, dans l'espoir d'arracher des contrats, en France ou ailleurs, et d'établir des rapports de collaboration pour faire émerger la région maghrébine et l'Algérie en particulier sur différents plans. C'est ce qui a été affirmé dans l'intervention de M. Mohamed El Ouahdoudi, président de la Convention France-Maghreb, selon lequel « Il ne faut pas se focaliser forcément sur les grands groupes quand il s'agit de promouvoir l'investissement en Algérie. Mieux vaut mille petites entreprises qui investissent en créant des centaines d'emplois et qui facilitent la redistribution des valeurs créées », et d'ajouter : « Aidons donc les entrepreneurs maghrébins à investir en Algérie, en facilitant les démarches administratives et en leur apportant des concours ciblés ». On signale, par ailleurs, que M. Paul Balta, l'éminent spécialiste du Maghreb et du Monde arabe, aura à intervenir, en animant une conférence, sur le projet de l'Union pour la Méditerranée, conçu, rappelons-le, par le président français Nicolas Sarkozy en 2007 et qui est resté à l'état de chantier. Enfin, les affairistes, d'Algérie ou d'ailleurs attendent beaucoup de cette convention et espèrent que l'édition de cette année puisse réussir là où les précédentes ont échoué. M. S.