Le ministre du Tourisme, M.Chérif Rahmani, qui a présidé la cérémonie de signature de cette troisième tranche de contrat de partenariat, organisée hier à l'hôtel Hilton Le ministre du Tourisme, M.Chérif Rahmani, qui a présidé la cérémonie de signature de cette troisième tranche de contrat de partenariat, organisée hier à l'hôtel Hilton Un contrat de partenariat pour la réalisation de 90 projets touristiques a été signé, hier, entre le ministère de l'Aménagement du territoire, de l'Environnement et du Tourisme et 90 investisseurs nationaux, porteurs de projets touristiques, ce qui générera près de 12.000 emplois. En effet, le ministre du Tourisme, M.Chérif Rahmani, qui a présidé la cérémonie de signature de cette troisième tranche de contrat de partenariat, organisée hier à l'hôtel Hilton, a rappelé la nécessité de résorber le déficit en matière d'investissement, en la présence des représentants des banques publiques, des ambassadeurs, et des chefs d'entreprise. Par ailleurs, il a indiqué que « les 90 projets, qui seront réalisés dans les prochains mois, font partie d'une des cinq dynamiques du Schéma directeur de l'aménagement du tourisme, à l'horizon 2025 (SDAT), à savoir le partenariat entre l'administration, le gouvernement et les investisseurs ». Ces contrats concernent la réalisation d'hôtels et de loisirs au niveau des pôles touristiques Centre, Est, Ouest et le Sud du pays. Dans leur globalité, ces projets représentent 8.000 lits et quelque 12.000 emplois. Il faut dire que cette démarche s'inscrit dans le partenariat public-privé, fondée sur la confiance, la complémentarité durable et le volontarisme dans l'action. « Nous voulons resserrer le lien avec l'investisseur, c'est notre objectif » dira le ministre. Il a par ailleurs affirmé que les pouvoirs publics apporteront un accompagnement aux investisseurs dans les domaines de la formation des personnels en gestion et aux métiers ainsi que dans la démarche, la qualité de leurs établissements. En outre, le ministre a souligné que l'ensemble des investisseurs disposent des assiettes de terrain pour la réalisation de leurs projets, en insistant sur le respect des délais. En contrepartie, M.Rahmani a rassuré les promoteurs nationaux concernant les permis et autres autorisations de construction. D'un autre côté, M.Rahmani a qualifié la crise financière mondiale d'élément canalisateur de prise de conscience au secteur du tourisme. « La crise économique est un accélérateur pour aller dans la bonne direction » a-t-dit. Par ailleurs, il est à rappeler que ces 90 projets viennent s'ajouter aux 113 et 80 projets touristiques (hôtels) dont les contrats ont été signés, respectivement dans les mois de mai et janvier 2008. Par ailleurs, le ministre a souligné que l'Algérie a pour mission d'assurer la rénovation de l'image du pays à l'étranger. Il a précisé que la promotion de la destination Algérie se doit d'être valorisée au sein des représentations dans les principaux pays émetteurs de clientèle. « Le gouvernement porte un grand intêret à l'aménagement. Mais il faut savoir que l'investissement ne suffit pas, il faut la fluidité du transport d'abord, qui constitue le loisir nécessaire au tourisme » a déclaré le ministre. Donc, rattraper le retard accumulé dans le secteur du tourisme est désormais le défi de l'Algérie. A. B. Un contrat de partenariat pour la réalisation de 90 projets touristiques a été signé, hier, entre le ministère de l'Aménagement du territoire, de l'Environnement et du Tourisme et 90 investisseurs nationaux, porteurs de projets touristiques, ce qui générera près de 12.000 emplois. En effet, le ministre du Tourisme, M.Chérif Rahmani, qui a présidé la cérémonie de signature de cette troisième tranche de contrat de partenariat, organisée hier à l'hôtel Hilton, a rappelé la nécessité de résorber le déficit en matière d'investissement, en la présence des représentants des banques publiques, des ambassadeurs, et des chefs d'entreprise. Par ailleurs, il a indiqué que « les 90 projets, qui seront réalisés dans les prochains mois, font partie d'une des cinq dynamiques du Schéma directeur de l'aménagement du tourisme, à l'horizon 2025 (SDAT), à savoir le partenariat entre l'administration, le gouvernement et les investisseurs ». Ces contrats concernent la réalisation d'hôtels et de loisirs au niveau des pôles touristiques Centre, Est, Ouest et le Sud du pays. Dans leur globalité, ces projets représentent 8.000 lits et quelque 12.000 emplois. Il faut dire que cette démarche s'inscrit dans le partenariat public-privé, fondée sur la confiance, la complémentarité durable et le volontarisme dans l'action. « Nous voulons resserrer le lien avec l'investisseur, c'est notre objectif » dira le ministre. Il a par ailleurs affirmé que les pouvoirs publics apporteront un accompagnement aux investisseurs dans les domaines de la formation des personnels en gestion et aux métiers ainsi que dans la démarche, la qualité de leurs établissements. En outre, le ministre a souligné que l'ensemble des investisseurs disposent des assiettes de terrain pour la réalisation de leurs projets, en insistant sur le respect des délais. En contrepartie, M.Rahmani a rassuré les promoteurs nationaux concernant les permis et autres autorisations de construction. D'un autre côté, M.Rahmani a qualifié la crise financière mondiale d'élément canalisateur de prise de conscience au secteur du tourisme. « La crise économique est un accélérateur pour aller dans la bonne direction » a-t-dit. Par ailleurs, il est à rappeler que ces 90 projets viennent s'ajouter aux 113 et 80 projets touristiques (hôtels) dont les contrats ont été signés, respectivement dans les mois de mai et janvier 2008. Par ailleurs, le ministre a souligné que l'Algérie a pour mission d'assurer la rénovation de l'image du pays à l'étranger. Il a précisé que la promotion de la destination Algérie se doit d'être valorisée au sein des représentations dans les principaux pays émetteurs de clientèle. « Le gouvernement porte un grand intêret à l'aménagement. Mais il faut savoir que l'investissement ne suffit pas, il faut la fluidité du transport d'abord, qui constitue le loisir nécessaire au tourisme » a déclaré le ministre. Donc, rattraper le retard accumulé dans le secteur du tourisme est désormais le défi de l'Algérie. A. B.