Pour cette première journée mondiale de handball, aujourd'hui à 15h30 à Varazdin, le Groupe C propose du sacrément lourd en guise de hors d'œuvre pour les Verts ! Le vice champion du monde 2007, l'éternel favori des joutes européennes et mondiales... Un Pologne Algérie de toute beauté et valant très cher, mais deux niveaux diamétralement opposés, avec des armes inégales. Pour cette première journée mondiale de handball, aujourd'hui à 15h30 à Varazdin, le Groupe C propose du sacrément lourd en guise de hors d'œuvre pour les Verts ! Le vice champion du monde 2007, l'éternel favori des joutes européennes et mondiales... Un Pologne Algérie de toute beauté et valant très cher, mais deux niveaux diamétralement opposés, avec des armes inégales. L'équation est simple à deviner. Comme le handball est une science exacte, on peut affirmer à coup sûr connaître le futur exclu entre une Algérie transcendée par l'enjeu planétaire, et une Pologne auréolée d'un accessit mondial au handball rigide ... Alors côté magicien polonais et apprenti algérien, autant commencer par une grande victoire synonyme quasiment - déjà - d'une place pour le prochain tour. Contre la Pologne et son armada d'internationaux, l'Algérie n'a aucune chance de s'imposer ou de chercher la moindre surprise car en handball, cela n'existe pas. Seulement donner le maximum. Au dernier Championnat du Monde en Allemagne, la Pologne est retournée sur la grande scène de handball. La clé de la réussite, c'est d'abord l'arrivée de Bogdan Wenta.qui, en tant que joueur, il a accompli une grande carrière en Espagne, après cela, il a exercé comme entraîneur en Allemagne ou il a appris les rudiments du métier. Il a fallu 25 ans pour la Pologne re-gagner une médaille au Championnat du monde, 32 ans, pour revenir sur la scène olympique. Ils ont aussi créée l'agréable surprise de Championnats en Allemagne en 2007, où ils se sont inclinés face aux allemands en finale. La Pologne est une équipe foramation solide, avec de très bonnes individualités. Ce soir, les consignes seront donc simples pour les algériens : jouer un beau match de handball et, surtout, se donner à 100 % même si l'on risque de se faire noyer face à cette machine tout terrain qu'est la pologne. D'ailleurs, Kamel Akkeb le coach algérien, n'accordera guère d'importance au score. L'entraîneur des Verts est probablement déjà focalisé sur les prochaines rencontres face aux outsiders. Parce qu'après ces matches face aux gros bras, c'est contre la Tunisie et la Macédoine pour une place d'honneur que jouera l'Algérie. Et là, en revanche, le résultat aura toute son importance. Mais en attendant cette échéance, place à la Pologne à ses champions, un gros morceau à crosier sans pression... « Si on donne tout ce qu'on a dans le ventre, je pense que notre public ne nous en voudra pas de perdre, conclut d'ailleurs Tahar Labane. Et puis, sait-on jamais... Les Polonais peuvent aussi avoir une défaillance. Ce sont des êtres humains. » Karola Bielecky, un métronome, Gregorz Tkaczyk, grand maître sur l'aile droite et Marius Jurasik capable d'évoluer à tous les postes sont les armes redoutables de a formation polonaise. Tous les trois jouent dans le même club de Mannheim en Allemagne, ce qui est certainement un avantage pour le sélectioneur Wenta dans la préparation de l'équipe. Si l'on rajoute, les deux frères Krisztof Marcin Lijewski de Hambourg, deux arrières de grands métier, et Bartosz Jurecki un pivot de taille, on saura le prix à payer. Peu optimiste, certes, mais ravi de jouer face aux grandes nations du handball, le coach algérien, a toujours eu pour objectif de mieux jouer et de s'améliorer de match en match face au gratin du handball français. «On s'est battu toute la saison dernière pour monter et jouer ce genre de match : maintenant qu'on est servi, on ne va surtout pas bouder notre plaisir. » W. A. L'équation est simple à deviner. Comme le handball est une science exacte, on peut affirmer à coup sûr connaître le futur exclu entre une Algérie transcendée par l'enjeu planétaire, et une Pologne auréolée d'un accessit mondial au handball rigide ... Alors côté magicien polonais et apprenti algérien, autant commencer par une grande victoire synonyme quasiment - déjà - d'une place pour le prochain tour. Contre la Pologne et son armada d'internationaux, l'Algérie n'a aucune chance de s'imposer ou de chercher la moindre surprise car en handball, cela n'existe pas. Seulement donner le maximum. Au dernier Championnat du Monde en Allemagne, la Pologne est retournée sur la grande scène de handball. La clé de la réussite, c'est d'abord l'arrivée de Bogdan Wenta.qui, en tant que joueur, il a accompli une grande carrière en Espagne, après cela, il a exercé comme entraîneur en Allemagne ou il a appris les rudiments du métier. Il a fallu 25 ans pour la Pologne re-gagner une médaille au Championnat du monde, 32 ans, pour revenir sur la scène olympique. Ils ont aussi créée l'agréable surprise de Championnats en Allemagne en 2007, où ils se sont inclinés face aux allemands en finale. La Pologne est une équipe foramation solide, avec de très bonnes individualités. Ce soir, les consignes seront donc simples pour les algériens : jouer un beau match de handball et, surtout, se donner à 100 % même si l'on risque de se faire noyer face à cette machine tout terrain qu'est la pologne. D'ailleurs, Kamel Akkeb le coach algérien, n'accordera guère d'importance au score. L'entraîneur des Verts est probablement déjà focalisé sur les prochaines rencontres face aux outsiders. Parce qu'après ces matches face aux gros bras, c'est contre la Tunisie et la Macédoine pour une place d'honneur que jouera l'Algérie. Et là, en revanche, le résultat aura toute son importance. Mais en attendant cette échéance, place à la Pologne à ses champions, un gros morceau à crosier sans pression... « Si on donne tout ce qu'on a dans le ventre, je pense que notre public ne nous en voudra pas de perdre, conclut d'ailleurs Tahar Labane. Et puis, sait-on jamais... Les Polonais peuvent aussi avoir une défaillance. Ce sont des êtres humains. » Karola Bielecky, un métronome, Gregorz Tkaczyk, grand maître sur l'aile droite et Marius Jurasik capable d'évoluer à tous les postes sont les armes redoutables de a formation polonaise. Tous les trois jouent dans le même club de Mannheim en Allemagne, ce qui est certainement un avantage pour le sélectioneur Wenta dans la préparation de l'équipe. Si l'on rajoute, les deux frères Krisztof Marcin Lijewski de Hambourg, deux arrières de grands métier, et Bartosz Jurecki un pivot de taille, on saura le prix à payer. Peu optimiste, certes, mais ravi de jouer face aux grandes nations du handball, le coach algérien, a toujours eu pour objectif de mieux jouer et de s'améliorer de match en match face au gratin du handball français. «On s'est battu toute la saison dernière pour monter et jouer ce genre de match : maintenant qu'on est servi, on ne va surtout pas bouder notre plaisir. » W. A.