Deux personnes ont été tuées et une trentaine ont été blessées, au cours de violents affrontements vendredi après-midi. Deux personnes ont été tuées et une trentaine ont été blessées, au cours de violents affrontements vendredi après-midi. Le bilan s'alourdit à Berriane alors que les échauffourées persistaient encore hier, entre les jeunes de cette localité de Ghardaïa. Deux personnes ont été tuées et une trentaine ont été blessées, au cours de violents affrontements vendredi après-midi, avait précisé le ministère de l'Intérieur et des collectivités locales, Yazid Zerhouni. En effet, à la suite de l'agression de deux habitants, des accrochages se sont déclenchés depuis vendredi, entre des groupes de jeunes citoyens dans deux quartiers de la ville de Berriane, au cours desquels deux personnes ont trouvé la mort, dont, rappelons le, un jeune de 16 ans qui s'est vu projeté du haut d'un immeuble. La deuxième victime, est un trentenaire qui a succombé à ses blessures à l'hôpital. Par ailleurs, 30 personnes ont été blessées dans les mêmes circonstances, selon un bilan provisoire révélé par le communiqué du ministère de l'Intérieur. Par ailleurs, et selon un militant du FFS de Berriane, l'un des membres de ce parti, à savoir M. Omar Kerouche, «a été tabassé et gravement blessé». Il a, en outre, dénoncé le silence «des responsables» concernant ce vieux conflit de région, qui persiste , tout en appelant la population à faire preuve de vigilance et de sérénité. Un témoin à Berriane, que nous avons joint hier par téléphone, nous a indiqué que les scènes d'émeutes continuent toujours malgré la présence des services de sécurité qui n'arrivent plus à contrôler la situation. Les émeutiers s'en prennent, a-t-il ajouté, aux citoyens et leurs biens, en saccageant et brûlant tout ce qui est véhicules et locaux,précisant par ailleurs, que « 18 habitations et locaux commerciaux ont été incendiés et d'autres saccagés». Celui-ci rapporte que les forces de l'ordre sont intervenues pour ramener le calme et qu'elles ont procédé à des interpellations. D'un autre côté, le Mouvement de la société pour la paix (MSP) a appelé «à faire prévaloir la raison et la sagesse suite aux violents affrontements qui ont eu lieu entre des citoyens, dans deux quartiers de cette ville». Dans un communiqué, le MSP a déploré ces regrettables incidents que d'aucuns veulent instrumentaliser et appelé les sages de la région à œuvrer au «resserrement des rangs». Le Mouvement de la société pour la paix a regretté que de tels incidents se produisent dans une société attachée à sa religion et à sa patrie, tout en souhaitant que tout un chacun œuvre à l'effet de circonscrire pareils actes. Pour rappel, la ville de Berriane a vécu les mêmes scènes de violence, qui avaient opposé du 16 au 18 mai 2008, des jeunes de deux communautés de cette région de Ghardaïa, les Chaâmbas d'origine arabe et les Mozabites, d'origine berbère. Ces affrontements avaient fait deux morts, selon les services de sécurité. Le bilan s'alourdit à Berriane alors que les échauffourées persistaient encore hier, entre les jeunes de cette localité de Ghardaïa. Deux personnes ont été tuées et une trentaine ont été blessées, au cours de violents affrontements vendredi après-midi, avait précisé le ministère de l'Intérieur et des collectivités locales, Yazid Zerhouni. En effet, à la suite de l'agression de deux habitants, des accrochages se sont déclenchés depuis vendredi, entre des groupes de jeunes citoyens dans deux quartiers de la ville de Berriane, au cours desquels deux personnes ont trouvé la mort, dont, rappelons le, un jeune de 16 ans qui s'est vu projeté du haut d'un immeuble. La deuxième victime, est un trentenaire qui a succombé à ses blessures à l'hôpital. Par ailleurs, 30 personnes ont été blessées dans les mêmes circonstances, selon un bilan provisoire révélé par le communiqué du ministère de l'Intérieur. Par ailleurs, et selon un militant du FFS de Berriane, l'un des membres de ce parti, à savoir M. Omar Kerouche, «a été tabassé et gravement blessé». Il a, en outre, dénoncé le silence «des responsables» concernant ce vieux conflit de région, qui persiste , tout en appelant la population à faire preuve de vigilance et de sérénité. Un témoin à Berriane, que nous avons joint hier par téléphone, nous a indiqué que les scènes d'émeutes continuent toujours malgré la présence des services de sécurité qui n'arrivent plus à contrôler la situation. Les émeutiers s'en prennent, a-t-il ajouté, aux citoyens et leurs biens, en saccageant et brûlant tout ce qui est véhicules et locaux,précisant par ailleurs, que « 18 habitations et locaux commerciaux ont été incendiés et d'autres saccagés». Celui-ci rapporte que les forces de l'ordre sont intervenues pour ramener le calme et qu'elles ont procédé à des interpellations. D'un autre côté, le Mouvement de la société pour la paix (MSP) a appelé «à faire prévaloir la raison et la sagesse suite aux violents affrontements qui ont eu lieu entre des citoyens, dans deux quartiers de cette ville». Dans un communiqué, le MSP a déploré ces regrettables incidents que d'aucuns veulent instrumentaliser et appelé les sages de la région à œuvrer au «resserrement des rangs». Le Mouvement de la société pour la paix a regretté que de tels incidents se produisent dans une société attachée à sa religion et à sa patrie, tout en souhaitant que tout un chacun œuvre à l'effet de circonscrire pareils actes. Pour rappel, la ville de Berriane a vécu les mêmes scènes de violence, qui avaient opposé du 16 au 18 mai 2008, des jeunes de deux communautés de cette région de Ghardaïa, les Chaâmbas d'origine arabe et les Mozabites, d'origine berbère. Ces affrontements avaient fait deux morts, selon les services de sécurité.