Le producteur et réalisateur Belkacem Hadjadj a animé, avant-hier, à Alger une conférence de presse à travers laquelle il a présenté son nouveau projet de tournage. Il a ainsi donné un aperçu sur sa nouvelle production : une comédie musicale prévue pour l'automne 2009 sur le petit écran. Cette série pour le petit écran, intitulée Es Saha (la Place), se présente sous forme de 16 épisodes de 35 minutes chacun. Les scènes, essentiellement en extérieur, seront entièrement tournées à la cité des Bananiers (Mohammadia-Alger), au milieu des résidants de la cité, dans un décor planté sur un terrain vague d'une centaine de m2 jouxtant la cité. Es Saha retrace le quotidien des habitants d'une cité nouvellement inaugurée et qui se disputent, pour tenter de se l'approprier, «La place», cœur de la cité et qui est censé être un espace commun par définition. Chacun des antagonistes a des désirs ou desseins plus ou moins cachés. Sur cette place où tous les habitants finissent par apprendre le partage et le «vivre ensemble», les jeunes tiennent la vedette, sans que les moins jeunes soient en reste, pour autant. Par cette œuvre, l'équipe de réalisation ambitionne de donner au paysage télévisuel et cinématographique sa première comédie musicale, dans le style de West Side Story, un classique américain du genre. Et de fait, les quelques tableaux chorégraphiques dévoilés à la presse donnent à voir des scènes époustouflantes exécutées, pour la plupart, par de jeunes danseurs-comédiens, en pleine répétition. Sur fond de hip hop, auquel se mêlent des sonorités locales, gnaoui, kabyle et autres rythmes du terroir, les danseurs, garçons et filles, tous amateurs, racontent leurs histoires au moyen de l'expression corporelle la mieux partagée par les «teen-agers» du monde entier : la break dance. Par cette expression corporelle et ces rythmes musicaux, emblématiques de la jeunesse actuelle, le réalisateur de cette comédie musicale dira qu'il a voulu donner une image des jeunes Algériens, «faite d'énergie et de rêve», une image «positive» pour «tordre le cou» à cette autre image «faite de suicides et de harga (fuite) à l'étranger» pour échapper à la mal vie et aux frustrations. Hymne à la jeunesse, Es Saha promet d'être un spectacle jubilatoire au vue du dynamisme et de la motivation dont ont fait montre les comédiens au cours des répétitions suivies par la presse. Après la mise en boîte de la série, la comédie musicale sera montée en version cinéma. Le premier tour de manivelle d' «Es Saha», dont le scénario est signé par Salim Aïssa, est prévu pour jeudi prochain. Le producteur et réalisateur Belkacem Hadjadj a animé, avant-hier, à Alger une conférence de presse à travers laquelle il a présenté son nouveau projet de tournage. Il a ainsi donné un aperçu sur sa nouvelle production : une comédie musicale prévue pour l'automne 2009 sur le petit écran. Cette série pour le petit écran, intitulée Es Saha (la Place), se présente sous forme de 16 épisodes de 35 minutes chacun. Les scènes, essentiellement en extérieur, seront entièrement tournées à la cité des Bananiers (Mohammadia-Alger), au milieu des résidants de la cité, dans un décor planté sur un terrain vague d'une centaine de m2 jouxtant la cité. Es Saha retrace le quotidien des habitants d'une cité nouvellement inaugurée et qui se disputent, pour tenter de se l'approprier, «La place», cœur de la cité et qui est censé être un espace commun par définition. Chacun des antagonistes a des désirs ou desseins plus ou moins cachés. Sur cette place où tous les habitants finissent par apprendre le partage et le «vivre ensemble», les jeunes tiennent la vedette, sans que les moins jeunes soient en reste, pour autant. Par cette œuvre, l'équipe de réalisation ambitionne de donner au paysage télévisuel et cinématographique sa première comédie musicale, dans le style de West Side Story, un classique américain du genre. Et de fait, les quelques tableaux chorégraphiques dévoilés à la presse donnent à voir des scènes époustouflantes exécutées, pour la plupart, par de jeunes danseurs-comédiens, en pleine répétition. Sur fond de hip hop, auquel se mêlent des sonorités locales, gnaoui, kabyle et autres rythmes du terroir, les danseurs, garçons et filles, tous amateurs, racontent leurs histoires au moyen de l'expression corporelle la mieux partagée par les «teen-agers» du monde entier : la break dance. Par cette expression corporelle et ces rythmes musicaux, emblématiques de la jeunesse actuelle, le réalisateur de cette comédie musicale dira qu'il a voulu donner une image des jeunes Algériens, «faite d'énergie et de rêve», une image «positive» pour «tordre le cou» à cette autre image «faite de suicides et de harga (fuite) à l'étranger» pour échapper à la mal vie et aux frustrations. Hymne à la jeunesse, Es Saha promet d'être un spectacle jubilatoire au vue du dynamisme et de la motivation dont ont fait montre les comédiens au cours des répétitions suivies par la presse. Après la mise en boîte de la série, la comédie musicale sera montée en version cinéma. Le premier tour de manivelle d' «Es Saha», dont le scénario est signé par Salim Aïssa, est prévu pour jeudi prochain.