Les revendications des syndicats portent sur deux dossiers intimement liés l'un à l'autre. Il s'agit des statuts particuliers et du régime indemnitaire. Deux points qui ont, déjà, poussé ces syndicats à enclencher de nombreux débrayages. Les revendications des syndicats portent sur deux dossiers intimement liés l'un à l'autre. Il s'agit des statuts particuliers et du régime indemnitaire. Deux points qui ont, déjà, poussé ces syndicats à enclencher de nombreux débrayages. Au cours de cette période estivale, pourtant généralement consacrée au repos et aux vacances, nombreux sont les syndicats qui ont tiré la sonnette d‘alarme en pointant du doigt les pouvoirs publics sur la non satisfaction de leurs revendications. Ces derniers sont alors avertis, la rentrée sociale, qui s‘effectuera en plein mois sacré du ramadhan, promet d‘être explosif. Les syndicats autonomes, qui représentent plusieurs catégories de fonctionnaires, n‘ont eu de cesse à « guerroyer » ces dernières années pour faire aboutir leurs revendications. Et ils disent en avoir assez des tergiversations des pouvoirs publics qui « excellent dans l‘art de faire des promesses sans jamais vraiment les tenir ». Globalement, les revendications de syndicats portent sur deux dossiers intimement liés l‘un à l‘autre. Il s‘agit des statuts particuliers et du régime indemnitaire. Deux points qui ont, déjà, poussé ces syndicats à faire de nombreux débrayages. Des grèves qui ont surtout touché le secteur de l‘éducation nationale et de la santé où les syndicats sont bien implantés. «Bien sûr que dès la rentrée on risque de monter au créneau. Nous n‘allons pas nous taire, car faire pression sur le ministère est nécessaire» déclare le coordinateur du Snapest (syndicat national des professeurs de l‘enseignement secondaire et technique). Meziane Meriane, joint hier, a indiqué, en effet, que « si les portes du ministère restent fermées et qu‘il persiste dans sa politique de fuite en avant nous n‘aurons d‘autre alternative que d‘enclencher des actions de protestations». il met aussi en doute l‘engagement du ministère de l‘Education nationale à prendre sérieusement en main le dossier explosif du régime indemnitaire. « On ne connaît pas la date du début de son application malgré le fait que le ministère ait mis en place le 21 juin dernier une commission, dans laquelle siègent les représentants des 7 syndicats du secteur en vue de plancher sur cette question ». Le Cnapest (conseil national des professeurs de l‘enseignement secondaire et technique) est sur les mêmes longueurs d‘onde que son rival dans le secteur. Lors de l‘université d‘été organisée dans le courant du mois de juillet à Skikda, ce syndicat a élaboré sa stratégie pour l‘année scolaire 2009, 2010. Cette stratégie, qui sera soumise à l‘approbation du conseil national vers la fin du mois d‘août, évoque les grandes lignes des actions, que compte initier le syndicat durant cette année pour faire pression sur le ministère. «Il est alors évident que le records aux actions de protestations est programmé et pourrait intervenir dés l‘entame de l‘année scolaire» nous a indiqué, hier, Messaoud Boudiba, membre du bureau national chargé de l‘information. Pour les syndicats autonomes du secteur de l‘éducation nationale l‘enjeu majeur tourne autour de l‘élaboration dans les plus brefs délais du nouveau régime indemnitaire qui est une suite logique à la finalisation depuis quelques mois déjà du statut particuliers. En somme, face à la cherté de la vie, les enseignants, à l‘instar d‘autres catégories socio-professionnelles, veulent que leur salaire augmente. «Car il est anormal que ce retard perdure et que l‘on continue, presque deux ans après l‘entrée en vigueur de la nouvelle grille des salaires de la fonction publique (le 1 janvier 2008) à perdre presque 9.000 DA chaque mois» nous ont confié les syndicalistes. Ce malaise n‘est pas propre exclusivement aux syndicats de l‘Education nationale, qui projettent peut-être de boycotter le premier jour de la rentrée scolaire, puisque il en est de même dans le secteur de la santé. Le Syndicat national des praticiens de la santé publique (SNPSP), pour ne citer que cette organisation, a lui aussi brandi la menace de débrayage dès la rentrée sociale. Les psychologues aussi sont en colère. La bataille de ces des syndicats notamment est concentrée sur la question du statut particulier. Au cours de cette période estivale, pourtant généralement consacrée au repos et aux vacances, nombreux sont les syndicats qui ont tiré la sonnette d‘alarme en pointant du doigt les pouvoirs publics sur la non satisfaction de leurs revendications. Ces derniers sont alors avertis, la rentrée sociale, qui s‘effectuera en plein mois sacré du ramadhan, promet d‘être explosif. Les syndicats autonomes, qui représentent plusieurs catégories de fonctionnaires, n‘ont eu de cesse à « guerroyer » ces dernières années pour faire aboutir leurs revendications. Et ils disent en avoir assez des tergiversations des pouvoirs publics qui « excellent dans l‘art de faire des promesses sans jamais vraiment les tenir ». Globalement, les revendications de syndicats portent sur deux dossiers intimement liés l‘un à l‘autre. Il s‘agit des statuts particuliers et du régime indemnitaire. Deux points qui ont, déjà, poussé ces syndicats à faire de nombreux débrayages. Des grèves qui ont surtout touché le secteur de l‘éducation nationale et de la santé où les syndicats sont bien implantés. «Bien sûr que dès la rentrée on risque de monter au créneau. Nous n‘allons pas nous taire, car faire pression sur le ministère est nécessaire» déclare le coordinateur du Snapest (syndicat national des professeurs de l‘enseignement secondaire et technique). Meziane Meriane, joint hier, a indiqué, en effet, que « si les portes du ministère restent fermées et qu‘il persiste dans sa politique de fuite en avant nous n‘aurons d‘autre alternative que d‘enclencher des actions de protestations». il met aussi en doute l‘engagement du ministère de l‘Education nationale à prendre sérieusement en main le dossier explosif du régime indemnitaire. « On ne connaît pas la date du début de son application malgré le fait que le ministère ait mis en place le 21 juin dernier une commission, dans laquelle siègent les représentants des 7 syndicats du secteur en vue de plancher sur cette question ». Le Cnapest (conseil national des professeurs de l‘enseignement secondaire et technique) est sur les mêmes longueurs d‘onde que son rival dans le secteur. Lors de l‘université d‘été organisée dans le courant du mois de juillet à Skikda, ce syndicat a élaboré sa stratégie pour l‘année scolaire 2009, 2010. Cette stratégie, qui sera soumise à l‘approbation du conseil national vers la fin du mois d‘août, évoque les grandes lignes des actions, que compte initier le syndicat durant cette année pour faire pression sur le ministère. «Il est alors évident que le records aux actions de protestations est programmé et pourrait intervenir dés l‘entame de l‘année scolaire» nous a indiqué, hier, Messaoud Boudiba, membre du bureau national chargé de l‘information. Pour les syndicats autonomes du secteur de l‘éducation nationale l‘enjeu majeur tourne autour de l‘élaboration dans les plus brefs délais du nouveau régime indemnitaire qui est une suite logique à la finalisation depuis quelques mois déjà du statut particuliers. En somme, face à la cherté de la vie, les enseignants, à l‘instar d‘autres catégories socio-professionnelles, veulent que leur salaire augmente. «Car il est anormal que ce retard perdure et que l‘on continue, presque deux ans après l‘entrée en vigueur de la nouvelle grille des salaires de la fonction publique (le 1 janvier 2008) à perdre presque 9.000 DA chaque mois» nous ont confié les syndicalistes. Ce malaise n‘est pas propre exclusivement aux syndicats de l‘Education nationale, qui projettent peut-être de boycotter le premier jour de la rentrée scolaire, puisque il en est de même dans le secteur de la santé. Le Syndicat national des praticiens de la santé publique (SNPSP), pour ne citer que cette organisation, a lui aussi brandi la menace de débrayage dès la rentrée sociale. Les psychologues aussi sont en colère. La bataille de ces des syndicats notamment est concentrée sur la question du statut particulier.