L'audition des ministres par le président de la République, durant le mois sacré du ramadhan, est devenue une habitude bien ancrée dans les mœurs politiques nationales, tant cela dure depuis des années maintenant. L'audition des ministres par le président de la République, durant le mois sacré du ramadhan, est devenue une habitude bien ancrée dans les mœurs politiques nationales, tant cela dure depuis des années maintenant. Ce mois de jeûne, entamé hier par les Algériens, ne déroge pas à cette règle bien établie. En effet, et même en l'absence d'une information officielle sur cette question de nombreuses sources gouvernementales ont bien confirmé que les ministres seront bel et bien auditionnés par Abdelaziz Bouteflika. Les ministres ont, en effet, été instruits à l'effet de se préparer en perspective de ces rendez-vous. Leurs conseillers et les directeurs centraux sont à pied d'œuvre depuis des semaines pour établir des rapports-bilans sectoriels qui seront d'abord déposés sur le bureau du président puis présentés de vive voix devant lui par les ministres concernés. Cette épreuve orale à la quelle sont soumis les ministres permet au président de la République d'evaluer le travail accompli dans la réalisation des différents projets entrant dans le cadre de l'exécution de son programme dans le cadre de l'exécution du programme présidentiel. C'est de cette manière, entre autre, que Abdelaziz Bouteflika a pu suivre de près et régulièrement la réalisation des deux programmes quinquennaux lancés à partir de l'année 2000. En d'autres termes ces auditions ont permis au président Bouteflika de «booster» le rythme de réalisation des grands projets structurants notamment qui connaissaient par moments, pour d'innombrables raisons dont certaines sont objectives, des ralentissements. La presse nationale s'est, à maintes reprises, fait l'écho de la colère du président exprimée devant tel ou tel ministre pour avoir «failli» dans sa mission. L'on savait que le souci premier du premier magistrat du pays était d'être à la hauteur de ses promesses électorales comme c'était le cas pour la réalisation du million de logements ou la création de 2 millions d'emplois dans le programme quinquennal 2005/ 2009. C'est sans doute de cette façon aussi que le président de la République a réussi son pari puisque, à en croire les differents ministres, les délais de réalisation ont, à quelques détails près, été respectés. Ils pourront ainsi rendre compte dans les prochains jours au président de la République de l'état des lieux des chantiers de réalisation. Le président Bouteflika, qui a aussi les yeux tournés vers l'avenir, saisira cette occasion pour se pencher avec ses ministres sur les projets à réaliser durant le prochain plan quinquennal 2010/2014. Lors de la campagne électorale Abdelaziz Bouteflika a annoncé qu'il allait mettre en œuvre un troisième plan quinquennal pour lequel il compte mobiliser une enveloppe financière de 150 milliards de dollars. C'est désormais chose faite puisque ce plan a été entériné par le Conseil des ministres. A travers ce plan quinquennal il est question de créer 3 millions d'emplois, 200.000 nouvelles petites et moyennes entreprises ainsi que le lancement d‘un nouveau programme de réalisation d'un million de logements. Apparemment le président de la République trouve matière à satisfaction comme il vient de l'exprimer. Dans une allocution, lue en son nom par Abdelaziz Belkhadem à l'occasion de la Journée du moudjahid, Bouteflika, qui n'a pas manqué de rappeler les grandes réalisations enregistrées par le pays dans le domaine de l'éducation nationale, l'enseignement supérieur et le transport, a indiqué que «l'Algérie, forte aujourd'hui de nombreux atouts pour amorcer sa relance et réaliser le progrès escompté, est, Dieu merci, sur la bonne voie». De plus il a fait montre d'une grande détermination en vue de poursuivre la «la marche de développement global dans toutes ses dimensions et à faire face à tous les dysfonctionnements quelles qu'en soient l'origine et la nature pour préserver les deniers publics et la crédibilité des institutions de l'Etat». Ce mois de jeûne, entamé hier par les Algériens, ne déroge pas à cette règle bien établie. En effet, et même en l'absence d'une information officielle sur cette question de nombreuses sources gouvernementales ont bien confirmé que les ministres seront bel et bien auditionnés par Abdelaziz Bouteflika. Les ministres ont, en effet, été instruits à l'effet de se préparer en perspective de ces rendez-vous. Leurs conseillers et les directeurs centraux sont à pied d'œuvre depuis des semaines pour établir des rapports-bilans sectoriels qui seront d'abord déposés sur le bureau du président puis présentés de vive voix devant lui par les ministres concernés. Cette épreuve orale à la quelle sont soumis les ministres permet au président de la République d'evaluer le travail accompli dans la réalisation des différents projets entrant dans le cadre de l'exécution de son programme dans le cadre de l'exécution du programme présidentiel. C'est de cette manière, entre autre, que Abdelaziz Bouteflika a pu suivre de près et régulièrement la réalisation des deux programmes quinquennaux lancés à partir de l'année 2000. En d'autres termes ces auditions ont permis au président Bouteflika de «booster» le rythme de réalisation des grands projets structurants notamment qui connaissaient par moments, pour d'innombrables raisons dont certaines sont objectives, des ralentissements. La presse nationale s'est, à maintes reprises, fait l'écho de la colère du président exprimée devant tel ou tel ministre pour avoir «failli» dans sa mission. L'on savait que le souci premier du premier magistrat du pays était d'être à la hauteur de ses promesses électorales comme c'était le cas pour la réalisation du million de logements ou la création de 2 millions d'emplois dans le programme quinquennal 2005/ 2009. C'est sans doute de cette façon aussi que le président de la République a réussi son pari puisque, à en croire les differents ministres, les délais de réalisation ont, à quelques détails près, été respectés. Ils pourront ainsi rendre compte dans les prochains jours au président de la République de l'état des lieux des chantiers de réalisation. Le président Bouteflika, qui a aussi les yeux tournés vers l'avenir, saisira cette occasion pour se pencher avec ses ministres sur les projets à réaliser durant le prochain plan quinquennal 2010/2014. Lors de la campagne électorale Abdelaziz Bouteflika a annoncé qu'il allait mettre en œuvre un troisième plan quinquennal pour lequel il compte mobiliser une enveloppe financière de 150 milliards de dollars. C'est désormais chose faite puisque ce plan a été entériné par le Conseil des ministres. A travers ce plan quinquennal il est question de créer 3 millions d'emplois, 200.000 nouvelles petites et moyennes entreprises ainsi que le lancement d‘un nouveau programme de réalisation d'un million de logements. Apparemment le président de la République trouve matière à satisfaction comme il vient de l'exprimer. Dans une allocution, lue en son nom par Abdelaziz Belkhadem à l'occasion de la Journée du moudjahid, Bouteflika, qui n'a pas manqué de rappeler les grandes réalisations enregistrées par le pays dans le domaine de l'éducation nationale, l'enseignement supérieur et le transport, a indiqué que «l'Algérie, forte aujourd'hui de nombreux atouts pour amorcer sa relance et réaliser le progrès escompté, est, Dieu merci, sur la bonne voie». De plus il a fait montre d'une grande détermination en vue de poursuivre la «la marche de développement global dans toutes ses dimensions et à faire face à tous les dysfonctionnements quelles qu'en soient l'origine et la nature pour préserver les deniers publics et la crédibilité des institutions de l'Etat».