Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika reprendra l'audition des ministres à partir de dimanche prochain, soit au cinquième jour du mois de Ramadhan, a appris le Midi Libre, hier, de sources sûre. Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika reprendra l'audition des ministres à partir de dimanche prochain, soit au cinquième jour du mois de Ramadhan, a appris le Midi Libre, hier, de sources sûre. C'est un mode de contrôle et de suivi initié par le Chef de l'Etat depuis quelques années, afin d'évaluer le travail des ministres de son Exécutif en ce mois de piété. Donc, c'est tous les ministres qui vont défiler à la présidence de la République, pour répondre de leurs réalisations et les soumettre à l'évaluation du chef de l'Etat. En l'espace d'un mois, Abdelaziz Bouteflika aura terminé l'évaluation de la majorité des secteurs de la vie nationale, afin d'en tirer les leçons nécessaires et combler les lacunes. Par cette action, le président de la République voudrait donner un coup d'accélérateur aux différents projets de développement dans divers secteurs. Ainsi, Bouteflika ne manquera certainement pas de brimer certains ministres, dont la cadence des projets semble accuser du retard. La donne pour cette année n'est pas la même que l'année dernière, puisque le remaniement ministériel effectué récemment a supprimé certains portefeuilles ministériels, ajouté d'autres et annexé d'autres. Les ministres eux, ont également connu des chamboulements, permutés pour certains comme c'est le cas des départements de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière et celui de la Solidarité nationale et de la Famille. Donc, les auditions qu'entreprendraient incessamment le président de la République revêtent un caractère un peu particulier. D'abord, elles surviennent, certes comme d'habitude au mois sacré du Ramadhan, mais en plein mois d'août synonyme de repos et de vacances. D'ailleurs, certains ministres viennent juste de rentrer de leurs congés. Cette halte profitera au chef de l'Etat pour inspecter le taux d'avancement des différents projets de développement, notamment dans le cadre du plan de développement quinquennal, pour lequel une enveloppe financière colossale de l'ordre de 386 milliards de dollars a été consacrée. A l'issue de ces auditions, le chef de l'Etat fera le nécessaire après s'être enquis de la situation réelle dans les différents secteurs d'activité. Le repos n'a pas été très long pour d'autres ministres. Ils doivent désormais reprendre du service et préparer leurs comptes-rendus pertinemment étudiés avant de les soumettre à l'appréciation du premier magistrat du pays. Celui-ci, croit-on savoir, se montrerait très strict et rigoureux dans l'évaluation des réalisations des différents secteurs. Il ne manquerait pas, dans ce sens, de sermonner les retardataires, dans la perspective, bien entendu, de rattraper le retard et repartir d'un bon pied. Qui va inaugurer le défilé des auditions ? On le saura dimanche prochain date de la première séance. C'est un mode de contrôle et de suivi initié par le Chef de l'Etat depuis quelques années, afin d'évaluer le travail des ministres de son Exécutif en ce mois de piété. Donc, c'est tous les ministres qui vont défiler à la présidence de la République, pour répondre de leurs réalisations et les soumettre à l'évaluation du chef de l'Etat. En l'espace d'un mois, Abdelaziz Bouteflika aura terminé l'évaluation de la majorité des secteurs de la vie nationale, afin d'en tirer les leçons nécessaires et combler les lacunes. Par cette action, le président de la République voudrait donner un coup d'accélérateur aux différents projets de développement dans divers secteurs. Ainsi, Bouteflika ne manquera certainement pas de brimer certains ministres, dont la cadence des projets semble accuser du retard. La donne pour cette année n'est pas la même que l'année dernière, puisque le remaniement ministériel effectué récemment a supprimé certains portefeuilles ministériels, ajouté d'autres et annexé d'autres. Les ministres eux, ont également connu des chamboulements, permutés pour certains comme c'est le cas des départements de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière et celui de la Solidarité nationale et de la Famille. Donc, les auditions qu'entreprendraient incessamment le président de la République revêtent un caractère un peu particulier. D'abord, elles surviennent, certes comme d'habitude au mois sacré du Ramadhan, mais en plein mois d'août synonyme de repos et de vacances. D'ailleurs, certains ministres viennent juste de rentrer de leurs congés. Cette halte profitera au chef de l'Etat pour inspecter le taux d'avancement des différents projets de développement, notamment dans le cadre du plan de développement quinquennal, pour lequel une enveloppe financière colossale de l'ordre de 386 milliards de dollars a été consacrée. A l'issue de ces auditions, le chef de l'Etat fera le nécessaire après s'être enquis de la situation réelle dans les différents secteurs d'activité. Le repos n'a pas été très long pour d'autres ministres. Ils doivent désormais reprendre du service et préparer leurs comptes-rendus pertinemment étudiés avant de les soumettre à l'appréciation du premier magistrat du pays. Celui-ci, croit-on savoir, se montrerait très strict et rigoureux dans l'évaluation des réalisations des différents secteurs. Il ne manquerait pas, dans ce sens, de sermonner les retardataires, dans la perspective, bien entendu, de rattraper le retard et repartir d'un bon pied. Qui va inaugurer le défilé des auditions ? On le saura dimanche prochain date de la première séance.