Les investissements chinois en Algérie sont en plein essor avec un montant recensé de quelque 800 millions de dollars mais qui pourrait vite augmenter dans les prochaines années. Les investissements chinois en Algérie sont en plein essor avec un montant recensé de quelque 800 millions de dollars mais qui pourrait vite augmenter dans les prochaines années. Les autorités chinoises ont affirmé, récemment, leur volonté d'élargir leur présence en Algérie à d'autres secteurs d'activités économiques qui, jusque là, se sont limités à la construction et l'habitat, les travaux publics et les ressources hydrauliques. L'Algérie se place actuellement à la cinquième place des partenaires commerciaux de la Chine sur le continent africain, derrière l'Afrique du Sud, l'Angola, le Soudan et l'Egypte. Avec la dynamisation des relations dans le domaine des hydrocarbures, la Chine pourrait rapidement accentuer son implication dans des projets de développement économique en Algérie. Ainsi, avec le prochain achèvement de la construction de l'autoroute Est-Ouest (11 milliards de dollars) et la forte implication des ouvriers et techniciens chinois dans ce mégaprojet, ainsi que la réalisation d'infrastructures pétrolières d'une valeur de plus 500 millions de dollars, tels que l'usine de traitement de condensat de 5 millions de tonnes par an, et les installations de production et de traitement du gisement pétrolier de Touat, la Chine est en passe de devenir l'un des principaux investisseurs étrangers en Algérie. Par ailleurs, cette année, le groupe d'engineering civil chinois de CCECC a conclu trois contrats d'une valeur de 2,10 milliards de dollars pour la construction de lignes de chemins de fer dans l'ouest de l'Algérie, selon l'agence de presse Reuters. En fait, toute la détermination de la coopération sino-algérienne est symbolisée par la convergence de vues entre Alger et Pékin quant aux échanges entre les deux pays. Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a réaffirmé, lors de sa visite officielle en Chine en 2000, la volonté de l'Algérie de diversifier les secteurs de la coopération, tandis que le président chinois. Hu Jintao, a fait part, quant à lui, de la ferme volonté du gouvernement chinois d'accroître la coopération tous azimuts entre les deux nations. La coopération avec l'Algérie s'inscrit dans une vision globale d'expansion de la Chine sur le continent africain. En effet, les investissements directs étrangers (IDE) chinois en Afrique sont en nette augmentation de plus de 80 % au premier semestre 2009 et le président chinois, Hu Jintao, estime qu'il faut croître, d'une manière significative, les investissements sur ce continent en se basant sur les engagements pris récemment lors du sommet Chine-Afrique. En effet, la plupart des dirigeants de pays africains entretenant une coopération économique avec la Chine, apprécient le respect scrupuleux des engagements chinois concernant l'exécution des projets de développement. Les IDE chinois en Afrique ont atteint plus de 550 millions de dollars pour ce qui est du premier semestre 2009. En Algérie, il semble que l'investissement et le commerce ne soient pas le seul centre d'intérêts de la Chine. Même le président de la Fédération chinoise de football que nous avons rencontré à Alger, s'intéresse à d'éventuels recrutements de footballeurs algériens, précisant qu'il cherche le même profil que celui de Zineddine Zidane afin de révolutionner le football chinois. Les autorités chinoises ont affirmé, récemment, leur volonté d'élargir leur présence en Algérie à d'autres secteurs d'activités économiques qui, jusque là, se sont limités à la construction et l'habitat, les travaux publics et les ressources hydrauliques. L'Algérie se place actuellement à la cinquième place des partenaires commerciaux de la Chine sur le continent africain, derrière l'Afrique du Sud, l'Angola, le Soudan et l'Egypte. Avec la dynamisation des relations dans le domaine des hydrocarbures, la Chine pourrait rapidement accentuer son implication dans des projets de développement économique en Algérie. Ainsi, avec le prochain achèvement de la construction de l'autoroute Est-Ouest (11 milliards de dollars) et la forte implication des ouvriers et techniciens chinois dans ce mégaprojet, ainsi que la réalisation d'infrastructures pétrolières d'une valeur de plus 500 millions de dollars, tels que l'usine de traitement de condensat de 5 millions de tonnes par an, et les installations de production et de traitement du gisement pétrolier de Touat, la Chine est en passe de devenir l'un des principaux investisseurs étrangers en Algérie. Par ailleurs, cette année, le groupe d'engineering civil chinois de CCECC a conclu trois contrats d'une valeur de 2,10 milliards de dollars pour la construction de lignes de chemins de fer dans l'ouest de l'Algérie, selon l'agence de presse Reuters. En fait, toute la détermination de la coopération sino-algérienne est symbolisée par la convergence de vues entre Alger et Pékin quant aux échanges entre les deux pays. Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a réaffirmé, lors de sa visite officielle en Chine en 2000, la volonté de l'Algérie de diversifier les secteurs de la coopération, tandis que le président chinois. Hu Jintao, a fait part, quant à lui, de la ferme volonté du gouvernement chinois d'accroître la coopération tous azimuts entre les deux nations. La coopération avec l'Algérie s'inscrit dans une vision globale d'expansion de la Chine sur le continent africain. En effet, les investissements directs étrangers (IDE) chinois en Afrique sont en nette augmentation de plus de 80 % au premier semestre 2009 et le président chinois, Hu Jintao, estime qu'il faut croître, d'une manière significative, les investissements sur ce continent en se basant sur les engagements pris récemment lors du sommet Chine-Afrique. En effet, la plupart des dirigeants de pays africains entretenant une coopération économique avec la Chine, apprécient le respect scrupuleux des engagements chinois concernant l'exécution des projets de développement. Les IDE chinois en Afrique ont atteint plus de 550 millions de dollars pour ce qui est du premier semestre 2009. En Algérie, il semble que l'investissement et le commerce ne soient pas le seul centre d'intérêts de la Chine. Même le président de la Fédération chinoise de football que nous avons rencontré à Alger, s'intéresse à d'éventuels recrutements de footballeurs algériens, précisant qu'il cherche le même profil que celui de Zineddine Zidane afin de révolutionner le football chinois.