Quelque 10.000 cartes à puce «Chifa» ont été remises, hier à Alger, aux assurés sociaux de l'agence de la Caisse nationale des assurances sociales des travailleurs salariés (CNAS) de la wilaya d'Alger, en présence du ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh. Après l'opération-pilote lancée en 2007 dans cinq wilayas, en l'occurrence, Annaba, Boumerdès, Médea, Oum El-Bouaghi et Tlemcen, dans le cadre du régime fonctionnel, la carte Chifa s'étend progressivement sur tout le territoire national et se généralise à l'ensemble des assurés sociaux. «L'objectif de cette nouvelle carte magnétique est de maîtriser les dépenses de santé remboursées, simplifier et accélérer les procédures de remboursement et lutter contre les abus et les fraudes. Tous les prestataires de soins, médecins, chirurgiens-dentistes, pharmaciens et établissements hospitaliers publics ou privés seront conventionnés dans le cadre de la contractualisation, afin de permettre le bon déroulement de cette opération», a lancé le ministre, en marge d'une visite d'inspection sur la wilaya d'Alger. Il faut dire que ce dispositif permettra d'éviter aux citoyens assurés les longues attentes devant les guichets pour se faire rembourser, et faire valoir ainsi leurs droits auprès des prestataires de soin, notamment : médecins, hôpitaux, centres médicaux et pharmacies. Ainsi, il suffit à l'assuré, détenant une carte sociale ordinaire ou du tiers payant, de présenter sa carte à puce à son médecin traitant après consultation pour être remboursé ou pour pouvoir bénéficier de la gratuité des soins et des médicaments. En outre, la production de ces cartes a touché, signale-t-on, plus de 700.000 assurés, dont 519.618 dossiers actifs du nombre global des assurés sociaux. 28 wilayas a travers le payé sont d'ores et déjà dotées de ce système magnétique, a ajouté le ministre. D'un autre côté, M. Louh a indiqué que les les éléments féminins affiliées à la Cnas, âgées de plus de quarante ans, sont appelées à effectuer une mammographie afin de prévenir d'éventuels cancers du sein, ces analyses s'effectueront au sein des centres de contrôles médicaux de la Cnas. Par ailleurs, M. Louh a inspecté, lors de sa visite, le centre de paiement et de contrôle médical, situé à Aïn Taya, entièrement rénové. Ce siège a rouvert ses portes le 31 mai dernier et accueille plus de 200 personnes quotidiennement. Par la suite, le ministre a inauguré le cinquième siège de l'Inspection du travail de la wilaya d'Alger, dans la commune de Mohammedia. Les responsables de cette infrastructure, totalement achevée, ont accueilli le ministre sur une fessade de graviers. L'état déplorable des alentours du centre n'a pas échappé aux critiques de ministre ainsi qu'à celles du wali délégué d'Alger, notamment, quand on sait que le projet n'a couté que 45 millions DA sur les 52 millions attribués par l'Etat. Intransigeant, le premier responsable du secteur du travail a mis l'accent sur l'importance des finitions des réalisations concernant, notamment, les travaux de réaménagement d'extérieur. «Ce n'est pas normal de réaliser des projets sans pour autant prendre soin des façades extérieures», a martelé M. Louh. Il est à signaler que cette infrastructure vient s'ajouter au quatre déjà existant sur dans les wilayas de Batna, Tiaret, Ouargla et Annaba. Un autre centre de l'Inspection du travail sera opérationnel au cours du mois d'octobre prochain à Constantine», a-t-on annoncé. Quelque 10.000 cartes à puce «Chifa» ont été remises, hier à Alger, aux assurés sociaux de l'agence de la Caisse nationale des assurances sociales des travailleurs salariés (CNAS) de la wilaya d'Alger, en présence du ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Tayeb Louh. Après l'opération-pilote lancée en 2007 dans cinq wilayas, en l'occurrence, Annaba, Boumerdès, Médea, Oum El-Bouaghi et Tlemcen, dans le cadre du régime fonctionnel, la carte Chifa s'étend progressivement sur tout le territoire national et se généralise à l'ensemble des assurés sociaux. «L'objectif de cette nouvelle carte magnétique est de maîtriser les dépenses de santé remboursées, simplifier et accélérer les procédures de remboursement et lutter contre les abus et les fraudes. Tous les prestataires de soins, médecins, chirurgiens-dentistes, pharmaciens et établissements hospitaliers publics ou privés seront conventionnés dans le cadre de la contractualisation, afin de permettre le bon déroulement de cette opération», a lancé le ministre, en marge d'une visite d'inspection sur la wilaya d'Alger. Il faut dire que ce dispositif permettra d'éviter aux citoyens assurés les longues attentes devant les guichets pour se faire rembourser, et faire valoir ainsi leurs droits auprès des prestataires de soin, notamment : médecins, hôpitaux, centres médicaux et pharmacies. Ainsi, il suffit à l'assuré, détenant une carte sociale ordinaire ou du tiers payant, de présenter sa carte à puce à son médecin traitant après consultation pour être remboursé ou pour pouvoir bénéficier de la gratuité des soins et des médicaments. En outre, la production de ces cartes a touché, signale-t-on, plus de 700.000 assurés, dont 519.618 dossiers actifs du nombre global des assurés sociaux. 28 wilayas a travers le payé sont d'ores et déjà dotées de ce système magnétique, a ajouté le ministre. D'un autre côté, M. Louh a indiqué que les les éléments féminins affiliées à la Cnas, âgées de plus de quarante ans, sont appelées à effectuer une mammographie afin de prévenir d'éventuels cancers du sein, ces analyses s'effectueront au sein des centres de contrôles médicaux de la Cnas. Par ailleurs, M. Louh a inspecté, lors de sa visite, le centre de paiement et de contrôle médical, situé à Aïn Taya, entièrement rénové. Ce siège a rouvert ses portes le 31 mai dernier et accueille plus de 200 personnes quotidiennement. Par la suite, le ministre a inauguré le cinquième siège de l'Inspection du travail de la wilaya d'Alger, dans la commune de Mohammedia. Les responsables de cette infrastructure, totalement achevée, ont accueilli le ministre sur une fessade de graviers. L'état déplorable des alentours du centre n'a pas échappé aux critiques de ministre ainsi qu'à celles du wali délégué d'Alger, notamment, quand on sait que le projet n'a couté que 45 millions DA sur les 52 millions attribués par l'Etat. Intransigeant, le premier responsable du secteur du travail a mis l'accent sur l'importance des finitions des réalisations concernant, notamment, les travaux de réaménagement d'extérieur. «Ce n'est pas normal de réaliser des projets sans pour autant prendre soin des façades extérieures», a martelé M. Louh. Il est à signaler que cette infrastructure vient s'ajouter au quatre déjà existant sur dans les wilayas de Batna, Tiaret, Ouargla et Annaba. Un autre centre de l'Inspection du travail sera opérationnel au cours du mois d'octobre prochain à Constantine», a-t-on annoncé.