«Il n'y a pas de report de la Tripartite», a répliqué hier Tayeb Louh ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale à un journaliste qui l'interrogeait sur les raisons du report de cette réunion. Le ministre assurera, néanmoins, que cette réunion, très attendue, se tiendra «avant la fin de cette année». «Aucune date n'a été fixée jusqu'à présent», a-t-il ajouté avant de préciser que l'ordre du jour n'est, lui aussi, pas encore défini. «Il y a des dossiers que nous sommes en train de préparer au niveau du gouvernement. Mais, il appartient aux partenaires sociaux (patronat et UGTA) de proposer les dossiers à soumettre lors de cette réunion», a souligné le ministre du Travail qui s'exprimait en marge d'un séminaire de trois jours sur le rôle de l'Inspection du travail dans la promotion du dialogue social et qu'abrite le Centre de repos familial de la CNAS, à Ben Aknoun. Le seul dossier tranché avant la tenue de cette réunion -et qui semble faire l'objet d'un consensus sur le principe de l'augmentation-, est la question du Salaire national minimum garanti (SNMG), a avancé Louh lequel a encore indiqué qu'une «réunion informelle» l'a regroupé en sa qualité de représentant du gouvernement avec les partenaires sociaux (Patronat et UGTA), à l'occasion de la réception de l'Aïd el Fitr. Au cours de cette rencontre «certains aspects de la vie économique nationale ont été abordés», affirme le ministre. Pour revenir au séminaire qui s'est ouvert hier et se tiendra jusqu'au 30 du mois en cours, il convient de souligner que cette rencontre, organisée par l'Inspection générale du travail sous l'égide du ministre du Travail, de l'emploi et de la Sécurité sociale, s'inscrit dans le cadre de la coopération avec l'Organisation arabe du travail à travers le Centre arabe de l'administration du travail et de l'emploi, dont le siège se trouve à Tunis. Prennent part à ce séminaire, outre Kamel Omrane directeur général de l'Inspection de la Réconciliation de Tunis, Pascale Rodrigo directrice-adjointe à la direction départementale du travail de l'emploi et de la formation professionnelle du Puy du Dôme (France), et Noberto Rodrigues chef de la division de formation et des ressources humaines à l'Autorité pour les conditions du travail au Portugal. L'un des principaux objectifs de ce regroupement, selon les organisateurs, est de démontrer «l'importance du dialogue social comme facteur déterminant dans la sauvegarde de la paix sociale et de la stabilité économique de l'entreprise». Les séminaristes ont rappelé, à cette occasion, les principales missions et attributions de l'Inspection du travail. En effet, l'Inspection du travail, conformément aux dispositions de la loi n°90-03 du 6 février 1990, modifiée et complétée, est chargée avant tout d'assurer «le contrôle et l'application des dispositions législatives et réglementaires» relatives aux relations individuelles et collectives, aux conditions de travail, d'hygiène et de sécurité des travailleurs. Autre mission : fournir aux travailleurs et employeurs des informations sur leurs droits et obligations ainsi que sur les moyens les plus appropriés d'appliquer les dispositions légales réglementaires er conventionnelles et les sentences arbitrales. Quant aux attributions prévues par la loi, celles-ci portent, d'une part, sur des pouvoirs d'investigation et d'autre part, sur les moyens de sanctionner les éventuelles infractions à la législation du travail. En Algérie, l'Inspection générale du travail dispose d'un effectif global de 1.801 agents répartis comme suit : 661 personnels d'inspection et de contrôle, tous grades confondus, 216 personnels d'encadrement et 924 personnels de soutien administratif et de gestion. En ce qui concerne l'organisation et la répartition territoriale, il est indiqué que l'Inspection générale du travail dispose de deux structures centrales qui coordonnent l'activité des structures déconcentrées. Au total, ce sont 48 structures de wilayas, 27 bureaux d'inspection et 8 inspections régionales respectivement à Alger, Oran, Bechar, Ouargla, Constantine, Batna, Annaba et Tiaret. «Il n'y a pas de report de la Tripartite», a répliqué hier Tayeb Louh ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale à un journaliste qui l'interrogeait sur les raisons du report de cette réunion. Le ministre assurera, néanmoins, que cette réunion, très attendue, se tiendra «avant la fin de cette année». «Aucune date n'a été fixée jusqu'à présent», a-t-il ajouté avant de préciser que l'ordre du jour n'est, lui aussi, pas encore défini. «Il y a des dossiers que nous sommes en train de préparer au niveau du gouvernement. Mais, il appartient aux partenaires sociaux (patronat et UGTA) de proposer les dossiers à soumettre lors de cette réunion», a souligné le ministre du Travail qui s'exprimait en marge d'un séminaire de trois jours sur le rôle de l'Inspection du travail dans la promotion du dialogue social et qu'abrite le Centre de repos familial de la CNAS, à Ben Aknoun. Le seul dossier tranché avant la tenue de cette réunion -et qui semble faire l'objet d'un consensus sur le principe de l'augmentation-, est la question du Salaire national minimum garanti (SNMG), a avancé Louh lequel a encore indiqué qu'une «réunion informelle» l'a regroupé en sa qualité de représentant du gouvernement avec les partenaires sociaux (Patronat et UGTA), à l'occasion de la réception de l'Aïd el Fitr. Au cours de cette rencontre «certains aspects de la vie économique nationale ont été abordés», affirme le ministre. Pour revenir au séminaire qui s'est ouvert hier et se tiendra jusqu'au 30 du mois en cours, il convient de souligner que cette rencontre, organisée par l'Inspection générale du travail sous l'égide du ministre du Travail, de l'emploi et de la Sécurité sociale, s'inscrit dans le cadre de la coopération avec l'Organisation arabe du travail à travers le Centre arabe de l'administration du travail et de l'emploi, dont le siège se trouve à Tunis. Prennent part à ce séminaire, outre Kamel Omrane directeur général de l'Inspection de la Réconciliation de Tunis, Pascale Rodrigo directrice-adjointe à la direction départementale du travail de l'emploi et de la formation professionnelle du Puy du Dôme (France), et Noberto Rodrigues chef de la division de formation et des ressources humaines à l'Autorité pour les conditions du travail au Portugal. L'un des principaux objectifs de ce regroupement, selon les organisateurs, est de démontrer «l'importance du dialogue social comme facteur déterminant dans la sauvegarde de la paix sociale et de la stabilité économique de l'entreprise». Les séminaristes ont rappelé, à cette occasion, les principales missions et attributions de l'Inspection du travail. En effet, l'Inspection du travail, conformément aux dispositions de la loi n°90-03 du 6 février 1990, modifiée et complétée, est chargée avant tout d'assurer «le contrôle et l'application des dispositions législatives et réglementaires» relatives aux relations individuelles et collectives, aux conditions de travail, d'hygiène et de sécurité des travailleurs. Autre mission : fournir aux travailleurs et employeurs des informations sur leurs droits et obligations ainsi que sur les moyens les plus appropriés d'appliquer les dispositions légales réglementaires er conventionnelles et les sentences arbitrales. Quant aux attributions prévues par la loi, celles-ci portent, d'une part, sur des pouvoirs d'investigation et d'autre part, sur les moyens de sanctionner les éventuelles infractions à la législation du travail. En Algérie, l'Inspection générale du travail dispose d'un effectif global de 1.801 agents répartis comme suit : 661 personnels d'inspection et de contrôle, tous grades confondus, 216 personnels d'encadrement et 924 personnels de soutien administratif et de gestion. En ce qui concerne l'organisation et la répartition territoriale, il est indiqué que l'Inspection générale du travail dispose de deux structures centrales qui coordonnent l'activité des structures déconcentrées. Au total, ce sont 48 structures de wilayas, 27 bureaux d'inspection et 8 inspections régionales respectivement à Alger, Oran, Bechar, Ouargla, Constantine, Batna, Annaba et Tiaret.