La durée maximale des visas entre l'Algérie et les Etats-Unis est passée, depuis dimanche, à deux ans, alors qu'elle était de trois mois avant l'entrée en vigueur de cette décision, a appris hier l'APS auprès de l'ambassade d'Algérie à Washington. La durée maximale des visas entre l'Algérie et les Etats-Unis est passée, depuis dimanche, à deux ans, alors qu'elle était de trois mois avant l'entrée en vigueur de cette décision, a appris hier l'APS auprès de l'ambassade d'Algérie à Washington. Cette mesure vient, ajoute la même source, à la suite de l'accord signé le 23 octobre dernier entre l'ambassade d'Algérie à Washington et le département d'Etat américain. Appelée à « faciliter et encourager » la circulation des personnes entre les deux pays, cette mesure « concerne les touristes, les hommes d'affaires, les étudiants, les diplomates et les fonctionnaires en mission officielle », précise la même source. Par ailleurs, deux accords sur l'entraide judiciaire et les douanes seront signés dans les prochaines semaines, a-t-on indiqué de même source. Tout compte fait, cette mesure est à saluer d'autant que l'attitude étasunienne à l'égard de l'Algérie notamment avant, et à un degré moindre, après les événements du 11 septembre 2001, a toujours été frappée de suspicion voire de fortes appréhensions. En effet, la crainte permanente de voir se produire sur son sol de nouveaux attentats a amené l'administration américaine à durcir davantage le dispositif de sécurité en vigueur sur son territoire et à filtrer les entrées et les sorties, une mesure qui n'exclut bien évidemment pas les ressortissants algériens. Rappelons que les Etats-Unis d'Amérique avaient dernièrement affiché leur franche intention d'accorder de plus en plus de facilités pour les ressortissants algériens désirant se rendre se rendent au USA. L'ambassadeur d'Algérie à Washington, Abdellah Baâli, avaient dernièrement estimé que cela permettra une fluidité dans la circulation des personnes des deux côtés de l'Atlantique. Il a annoncé que des négociations sont en cours entre les deux pays pour établir des liaisons aériennes régulières. La déclaration de l'ambassadeur intervenait quelques jours seulement après la rencontre du consul des Etats-Unis, Jennifer Noisette, avec la presse. Elle avait donné de nombreuses explications sur la loterie consistant à permettre aux Algériens, dans le cas où ils sont favorisés par le tirage au sort, de séjourner et travailler dans ce pays. Cette mesure vient, ajoute la même source, à la suite de l'accord signé le 23 octobre dernier entre l'ambassade d'Algérie à Washington et le département d'Etat américain. Appelée à « faciliter et encourager » la circulation des personnes entre les deux pays, cette mesure « concerne les touristes, les hommes d'affaires, les étudiants, les diplomates et les fonctionnaires en mission officielle », précise la même source. Par ailleurs, deux accords sur l'entraide judiciaire et les douanes seront signés dans les prochaines semaines, a-t-on indiqué de même source. Tout compte fait, cette mesure est à saluer d'autant que l'attitude étasunienne à l'égard de l'Algérie notamment avant, et à un degré moindre, après les événements du 11 septembre 2001, a toujours été frappée de suspicion voire de fortes appréhensions. En effet, la crainte permanente de voir se produire sur son sol de nouveaux attentats a amené l'administration américaine à durcir davantage le dispositif de sécurité en vigueur sur son territoire et à filtrer les entrées et les sorties, une mesure qui n'exclut bien évidemment pas les ressortissants algériens. Rappelons que les Etats-Unis d'Amérique avaient dernièrement affiché leur franche intention d'accorder de plus en plus de facilités pour les ressortissants algériens désirant se rendre se rendent au USA. L'ambassadeur d'Algérie à Washington, Abdellah Baâli, avaient dernièrement estimé que cela permettra une fluidité dans la circulation des personnes des deux côtés de l'Atlantique. Il a annoncé que des négociations sont en cours entre les deux pays pour établir des liaisons aériennes régulières. La déclaration de l'ambassadeur intervenait quelques jours seulement après la rencontre du consul des Etats-Unis, Jennifer Noisette, avec la presse. Elle avait donné de nombreuses explications sur la loterie consistant à permettre aux Algériens, dans le cas où ils sont favorisés par le tirage au sort, de séjourner et travailler dans ce pays.