Les facteurs déclencheurs du stress en milieu professionnel, souvent liés à la nature de l'activité exercée, au volume horaire excessif ou à une formation non adaptée, sont les principales causes des répercussions négatives, a indiqué jeudi dernier à Constantine le Dr Farida Chemaa. Animant une conférence organisée par l'unité de psychologie du centre hospitalo-universitaire de Constantine (CHUC), en présence de spécialistes de la médecine du travail, cette spécialiste du domaine a ajouté que dans la genèse des troubles du comportement, le stress "répond à un déficit de l'intelligibilité de l'instruction reçue, d'où un entassement des astreintes". Le stress "engendré par l'incapacité d'un individu, en milieu professionnel, à adapter ses capacités physiques, mentales ou intellectuelles à la demande de son environnement professionnel, se répercute sur l'individu et sur l'entreprise", a également affirmé le Dr Chemaa, soulignant que cela "se reflète indéniablement sur le plan économique, sociologique et émotionnel". Ces facteurs, lorsqu'ils sont imbriqués et exacerbés par une charge de travail importante, font que "la somatisation de cette tâche induit une sécrétion hormonale importante apparaissant sous forme de tension artérielle ou d'accélération du rythme cardiaque avec de possibles développements favorisant des maladies comme le diabète ou la dépression nerveuse", a ajouté cette praticienne. La stratégie à adopter pour "réduire" le stress car, selon elle, "on ne peut le supprimer", consiste en la prévention précoce qui constitue une solution palliative, a-t-elle ajouté, notant dans ce contexte, qu'il faut agir "en premier lieu sur les facteurs déclencheurs du stress au milieu de travail". Selon cette psychologue, il est "fortement souhaité" de s'appuyer sur la présence d'un psychologue lors des tests de recrutement, pour apprendre au sujet à agir sur son émotionnel pour "mieux s'adapter" et éviter à l'entreprise d'être "en présence de travailleurs épuisés, en besoin de prise en charge psychologique, voire même psychiatrique". Les facteurs déclencheurs du stress en milieu professionnel, souvent liés à la nature de l'activité exercée, au volume horaire excessif ou à une formation non adaptée, sont les principales causes des répercussions négatives, a indiqué jeudi dernier à Constantine le Dr Farida Chemaa. Animant une conférence organisée par l'unité de psychologie du centre hospitalo-universitaire de Constantine (CHUC), en présence de spécialistes de la médecine du travail, cette spécialiste du domaine a ajouté que dans la genèse des troubles du comportement, le stress "répond à un déficit de l'intelligibilité de l'instruction reçue, d'où un entassement des astreintes". Le stress "engendré par l'incapacité d'un individu, en milieu professionnel, à adapter ses capacités physiques, mentales ou intellectuelles à la demande de son environnement professionnel, se répercute sur l'individu et sur l'entreprise", a également affirmé le Dr Chemaa, soulignant que cela "se reflète indéniablement sur le plan économique, sociologique et émotionnel". Ces facteurs, lorsqu'ils sont imbriqués et exacerbés par une charge de travail importante, font que "la somatisation de cette tâche induit une sécrétion hormonale importante apparaissant sous forme de tension artérielle ou d'accélération du rythme cardiaque avec de possibles développements favorisant des maladies comme le diabète ou la dépression nerveuse", a ajouté cette praticienne. La stratégie à adopter pour "réduire" le stress car, selon elle, "on ne peut le supprimer", consiste en la prévention précoce qui constitue une solution palliative, a-t-elle ajouté, notant dans ce contexte, qu'il faut agir "en premier lieu sur les facteurs déclencheurs du stress au milieu de travail". Selon cette psychologue, il est "fortement souhaité" de s'appuyer sur la présence d'un psychologue lors des tests de recrutement, pour apprendre au sujet à agir sur son émotionnel pour "mieux s'adapter" et éviter à l'entreprise d'être "en présence de travailleurs épuisés, en besoin de prise en charge psychologique, voire même psychiatrique".