Pauvre Allain Jules, il a été embarqué dans une manipulation du tonnerre ! Lui qui détenait un moment le scoop de sa carrière au conditionnel, lequel aurait dû virer au présent de l'indicatif suivant son style journalistique de polémiste, tout en pensant s'octroyer par la suite la paternité de l'exclusivité de l'annonce du décès de Bouteflika. Malgré son mea culpa vomitif dans cette circonstance anarchique, quelle mesquine investigation indigeste pour ce bourret de professeur, puisque le président algérien lui même, qui n'est pas dénué d'humour sarcastique, confirme par la plaisanterie à ses proches qui s'inquiétaient, cette rumeur folle qui s'est enflammée sur internet. En réalité, c'était le bon « deal » qui avait harponné Allain Jules, un hameçonnage sophistiqué de la même qualité d'un appât très charnu schématisé par un double crochet de boucher, tendu expressément par un certain clan du pouvoir ennemi du président, lequel voulait jauger la réaction des algériens sur les réseaux sociaux d'abord, et peut-être les faire sortir dans la rue pour mettre un peu d'eau dans le nouveau moteur gouvernemental de Sellal, lequel gouvernement qui a laissé, sans aucun doute, des « traces » jalouses et des comportements irresponsables dans le sérail. Et entre autre également, prendre la température « réactive » de certains salons étrangers, qui arbitrent l'équilibre du pouvoir algérien avec une certaine colique au ventre. Car c'est un secret de polichinelle de ne pas savoir que Bouteflika est réellement et malheureusement très malade et peut-être que sa destinée (Dieu seul le sait) ne tiendrait pas le coup jusqu'à 2014. Les bruits courent du même « tambour clanique » que ses apparitions présidentielles médiatiques et sporadiques, sont souvent précédées d'un « dopage esthétique ». Mais le plus comble de cette histoire de « pêche » d'Allain Jules, est qu'elle était montée en ligne par les mêmes « pêcheurs », les mêmes chefs marionnettistes au service du même clan, qui avait distillé le dernier récent canular d'une prochaine menace militaire de l'Algérie envers Israël, une « admonestation » certifiée, soit disant par une étude stratégique de la part d'un professeur d'université israélienne dans les colonnes d'un quotidien de Tel Aviv, ce dernier pédagogue innocent, n'était au courant de rien, et avait tout de suite démenti le « gros poisson ». Il faut dire que ça ne marche pas à tous les coups, fort heureusement. Et de ce fait, Allain Jules doit dorénavant manucurer ses orteils avant de toucher son clavier. En résumé et en ce qui concerne les algériens, tout cet « abracadabra » manipulatoire de bas étage, nous annonce probablement une « échographie » parlante d'une naissance « par le siège » du futur président en 2014. Bien sûr, si Bouteflika endurerait évidemment plus encore sa chimiothérapie, que les clans et autres « pêcheurs » qui veulent le « murer » au palais d'El-Mouradia. A.By