Auteur des livres « Dans les geôles de Nezzar », « l'Algérie des généraux » et « du MALG au DRS », j'ai été, hier 4 juin 2013, victime d'un cambriolage à mon domicile qui ne peut être le fait que de services spéciaux. Mon sentiment est que cet criminel ne pourrait provenir que d'Alger, en attendant que l'enquête, à la suite de la plainte que j'ai déposé, découvre les auteurs de ce forfait. Curieusement, malgré des objets qui pouvaient intéressés tout cambrioleur qui se respecte, seul mon ordinateur a été dérobé et mon courrier épluché et peut être il a été scanneé. Ce n'est pas la première fois que je suis ainsi victime des agressions de barbouzes qui ont envoyé une équipe faire main basse sur mon appartement. En effet, en janvier 2004 déjà, j'ai été pris physiquement à porté par des inconnus « Place d'Israel, avenue de Wagram »; Une plainte toujours en cours a été déposé auprès de la brigade criminelle de Paris. D'autre part, au bâton utilisé à mon égard, il a été rajouté la carotte: une somme de 50.000 € m'a été proposée pour renoncer à la publication de mon livre « du MALG au DRS ». Les intermédiaires m'avait demandé de leur remettre, à cette fin, le manuscrit contre la somme indiquée. Cette tentative d'agression (je ne peux imaginer ce qui ce serait passé si j'avais été dans mon appartement au moment du cambriolage) intervient alors que les événements se radicalisent en Algérie. Je considère, par cet acte qui m'a touché personnellement, que l'on cherche à faire taire les voix libres et contestataires d'un ordre établi. Lyes LARIBI, professeur de mathématiques