« Hirak » est une manifestation revendicatrice d'égalité qui compose la racine de la conscience et du sentiment du devoir » Benallal Mohamed Le changement olympien en dehors du système , les changements pantouflards du personnel politique, changement placide de la vie sociétale sont les seuls souhaits espérés par les petits lambadas algériens, ils ne font que spéculer profondément et parler haut et fort pour se soulager d'un mal commun très profond dans l'intention de voir la situation quotidienne changer et c'est un miracle qui se nomme le « Hirak » qui vient de délivrer le pays pris en otage par une oligarchie préfabriquée par le népotisme . Ce changement sollicité par le « Hirak » est proliféré pour mieux humaniser la société trop prise en otage par l'argent sale au détriment des valeurs universelles, des normes sociales et de morale humaine Cette nouvelle situation envisagée ne peut devenir factuelle que lorsqu' »on » arrive à restaurer la démocratie participative que le « Hirak » engage via la rue. Les supports médiatiques en l'occurrence les TV publiques, privés et les radios qui n'ont jamais osé penser unilatéralement ouvrir un véritable débat revendicatif sincères sur une éventuelle représentation des usagers dans les conseils des APC( Assemblée populaire communale), APW ( assemblée populaire de wilaya) et même APN(assemblée populaire nationale) sans passer par le Senat. Par contre, on parle beaucoup pour ne rien dire et rien faire pour sortir le pays de la périlleuse impasse spéculative et les blocages bureaucratiques d'ordre administrative ainsi que l'absence d'écoute des citoyens mal aimés tout cela dans le seul et unique but de l'orienter vers une économie réelle créatrice d'emploi et de richesse, une participation effective ,une moralisation de la vie sociale pour la préservation et l'embellissement du bien public commun. On ne parle pratiquement pas du coût de l'énergie et surtout des couts engendrés par des gaspillages de biens utiles sachant que l'état prélève plus en % qui viennent des surtaxes de l'Etat ,de la TVA et autres taxes pour enrichir son budget, préférant la destruction de richesse au lieu de la consommation équitable à grand échelle. Idem pour nombre de dossiers importants occultés. Une seule pensée nous vient : On enfume le peuple algérien par ce sacré système népotique et despotique. On le manipule par de l'intox, la peur, le mensonge et la désinformation. Qui « on » ? La réponse est soigneusement cachée sous le silence des partis pris dans leurs professions de foi financière et dans les médias à sous : ils sont tous complices du mal sociétal de ce système. Tous sans aucune exception. La solution pour briser le mur du silence ? c'est « Hirak » ce nouveau maelstrom que chacun veut avoir un siège sur sa vague : Par conséquent, pour mettre fin aux guéguerres des petits grands chefs qui empêchent depuis des années 80, de concrétiser par un opium, l'expression médiatique et politiques des lambadas en colère tout en sauvegardant le système rentier, il est clair que les clans du sommet sont animés par des incompétents et médiocres noyés dans leurs égos, n'arrivent pas à se mettre d'accord sur l'ordonnancement au sein des intérêts égoïstes. Tout cela représenté sous un symbole matériel d'un fait bien accompli « cadre d'un président fantôme » et de bien faire comprendre aux médias que c'est l'expression d'un peuple et non l'expression d'apparatchiks calculateurs et de groupuscules manipulateurs ou manipulés dont le « cadre » représente le consensus de la mafia. Oui, c'est le comble des combles, un « cadre » symbole de bras d'honneur à un système politicien perverti qui étouffe et prend en otage le pays depuis trop d'années d'humiliation que l'histoire n'arrive pas à inventorier sereinement. L'alternative par le biais du « Hirak », à la nouvelle révolution électorale citoyenne proposée par le « hirak » (pour enclencher une deuxième phase « dégagiste » pour une deuxième république démocratique et non royaliste contre les politiciens et autres responsables refusant d'écouter les cris codés de la justice sociale. « Ils »(les méchants) veulent coûte que coûte par le 102 (disposition constitutionnelle) le maintien en place pendant des années d'un système défaillant, »Hagar », imbécile, sauvage, source rentière, très coûteuses en vie ( hogra) pour les lambadas . Le grand risque d'al « Hirak » a pris au dépourvu et par miracle fatalement de faire apparaître à base de bizutage miraculeux parfois humoristique un nouveau processus original « d'action directe » sur les apparatchiks, les oligarques, les plus grossièrement malhonnêtes politiquement. Le changement est consommé de facto c'est le « Hirak » qui le dit, la feuille de route d'avenir, nous enseignera la méthode et la démarche à suivre pour l'instauration un état de droit ou chacun aura sa place régit par le droit et non par des sales personnes maudites à jamais. Benallal Mohamed auteur