Chaque samedi, la station r�gionale �Radio Bahia� Oran pr�sente �Dossiers sportifs� �Milafet riadhias� anim�e par A�t- Habbouche Dja�far en collaboration avec son coll�gue Hassani Houari et son directeur Haffaf Fay�al. Le th�me trait� cette semaine est l�arbitrage. Quant aux invit�s, il y avait Mohamed Sendid, ex-referee FIFA et contr�leur d�arbitres DTNA, le repr�sentant de la DTA-LOFA Hadj Benaoauda Sa�da, celui de la wilaya d�Oran (DTWALFWO) Megherbi et notre confr�re journaliste et ex-arbitre f�d�ral Nacer Ch�rif, alors que Rachid Medjiba (DTNA-FAF) �tait invit� en direct d�Alger � l�instar d�autres arbitres en activit� (Allam-Lacarne AEK) et anciens (Zerhouni, Seghier, Bouzid, Ouen�s) la confr�rie des �siffleurs� s��tait �largie au coll�gue Kahouadji, arbitre international de� handball, et ceux qui ont intervenu en appelant au t�l�phone. Il y avait � d�battre des interf�rences de gestion entre les directeurs techniques d�arbitrage qui font ressortir le statut ou r�glement int�rieur de l�arbitre. Le plan d�action, selon le programme �tabli o� la DTNA devait �bouger� pour rendre visite aux wilayas et surtout de les aider en moyens mat�riels. En plus de cela, les DTR et DTW de l�arbitrage n��taient pas satisfaits du blocage impos� par la DTNA en ce qui concerne l�utilisation des arbitres �titr�s� lorsqu�ils sont au repos et qu�ils ont �t� form�s � la base et qu�ils n�ont rien co�t� � la DTNA. A cela, r�pondra Medjiba, que chaque direction a son �quota� qu�on ne pouvait pas y toucher car d�pendant directement de la direction nationale. Mohamed Sendid �tait �tonn� de ce �tri� estimant que la FAF a aussi �balis� l�arbitrage apr�s celui des �lections. Il ajoutera que lorsque le football est malade, c�est normal que l�arbitrage suive car les deux sont li�s et vont de pair. Il dira �il n�y a pas de foot sans arbitre�, Medjiba reconna�tra que son temps ne lui permet pas d��tre partout puisqu�il �tait d�j� pass� � travers les 48 wilayas du pays. Sendid rench�rit que son ancien coll�gue et ami n�est pas un ��lu� mais �employ� � la FAF et de ce fait, ses missions sont contr�l�es et r�pertori�es par son employeur. C�est pour cela qu�il fallait inclure une commission d�arbitrage (d�veloppement-formation et collaboration avec les structures internationales (UAFA-CAFFIFA) alors que la DTNA est une structure technique (gestion de carri�res, examens, contr�les, organisation de s�minaires et de regroupements nationaux d�arbitres et d�signation). Mais les arbitres qui se joignent aux d�bats avaient soulev� le probl�me de �r�gularisation financi�re de leurs offices qui leur arrivaient en retard car il s�agit de jeunes arbitres (p�res ou charg� de famille, �tudiants, travaillant chez le priv� ou dans une soci�t� mais aussi des fonctionnaires) qui avaient besoin d�encaisser leurs dus pour pouvoir effectuer les d�placements � leur aise. Certains ont d�clar� �tre d�sign�s deux fois par semaine � l�Est ou au Centre. Le probl�me de primes de match fut soulev� par Lacarne. Alors que notre confr�re Nacer Cherif, ancien arbitre, rappellera qu�auparavant les charg�s des finances des ligues qui �taient dans les stades le week-end payaient, selon le bar�me sur place, les arbitres quelle que soit leur origine et qu�un document �tait contresign� pour �tre inclus dans le bilan de la recette du jour. Le point soulev� par Haffaf Fay�al portant sur l�existence ou pas de la corruption en milieu arbitral n�a pas �t� discut� du fait que l��mission tirait � sa fin. L�animateur annon�a que samedi prochain, le dossier aura pour th�me �Le devenir du football national� o� des membres du comit� initi� par une cellule de r�flexion pr�sid�e par Drif, Zouba, Bergui vont d�battre de la crise du sport-roi. D�anciens responsables de la FAF (Brik, Sendid, Bendadache, Hamidi seront sur le plateau de �Bahia- FM�.