A quelques heures de la réception de Villarreal, en quart de finale retour de Ligue des champions, Arsène Wenger ne s'en cache pas, les Gunners sont sous tension. «Nous nous sentons un peu tendus», reconnaît le manager londonien, interrogé par Sky Sports. L'enchaînement des blessures en défense (Almunia, Gallas, Clichy, Djourou) pourrait en effet s'avérer décisif. Car après avoir affronté les Espagnols pour une place dans le dernier carré de la C1, Arsenal se frottera à Chelsea, samedi (demi-finale de Cup), puis à Liverpool, mercredi prochain (33e journée de Premier League). Mais, finalement, Wenger se félicite que son groupe soit sous pression : «On aime le fait d'avoir ces grands matches à jouer. Il y a de la tension mais on aime ça, parce que s'il n'y en a pas, c'est que vous ne courez après rien.»