Le président de la Commission nationale de promotion et de protection des droits de l'homme (Cnppdh), M.Farouk Ksentini, a relevé la nécessité d'élaborer une Constitution non révisable pour une durée de 50 ans au moins, affirmant qu' «il est préférable de procéder à cette révision avant la présidentielle de 2014. Le président de la Cnppdh a également souligné l'importance de soumettre le projet de révision de la Constitution à référendum quand il s'agit de l'équilibre du pouvoir, mais s'il s'agit de la limitation des mandats présidentiels, il suffit qu'il soit soumis au Parlement». Concernant la date de la révision de la Constitution, M.Ksentini a estimé qu'il «est préférable d'y procéder avant la présidentielle de 2014», soulignant que «le système semi-présidentiel est le plus adéquat pour l'Algérie car il permet une coexistence dans la cohésion entre le président et le Parlement.»