Les sièges des Assemblées populaires communales (APC) à travers le pays ont abrité hier l'opération de vote de renouvellement par moitié des membres du Conseil de la Nation. Selon les indications de l'Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), le scrutin a débuté à 8h00 pour s'achever à 17h00 le même jour. Hier, dans la journée, l'ANIE a affirmé que les élections se déroulaient dans de bonnes conditions. Le nombre des membres du corps électoral a atteint 27.241 membres élus (2.350 membres des conseils populaires provinciaux et 24.891 membres des conseils populaires municipaux). Quant aux dossiers de candidature déposés, ils s'élèvent à 629, dont 410 dossiers pour des élus relevant de 23 partis politiques et 219 dossiers pour des élus indépendants. 426 dossiers ont été acceptés, dont 249 dossiers de candidats parrainés par 20 partis politiques et 177 dossiers de candidats indépendants. Il s'agit de 202 dossiers déposés par des membres des conseils populaires provinciaux. Et 224 dossiers émanant de membres des conseils populaires municipaux. Le nombre des membres de l'électorat a atteint 27.241 électeurs, dont 2.350 membres des Assemblées populaires de wilaya (APW) et 24.891 membres des Assemblées populaires communales (APC). Le nombre de dossiers de déclaration de candidature déposés a atteint 629 dossiers, dont 410 dossiers d'élus parrainés par 23 partis politiques, et 219 dossiers d'élus indépendants, indique la même source, précisant que 426 dossiers ont été acceptés, dont 249 dossiers déposés par des candidats parrainés par 20 partis politiques, et 177 dossiers d'élus indépendants. Il s'agit de 202 dossiers déposés par des membres des Assemblées populaire de wilayas (APW) et 224 déposés par des membres des Assemblées populaire communales (APC). Le professeur de droit constitutionnel, Dr. Alaoua Al-Ayeb, qui intervenait sur les ondes de la Chaîne I de la Radio nationale, a rappelé que les élections de mi-mandat des membres du Conseil de la Nation ont lieu tous les 3 ans, et sont extrêmement importantes pour établir la structure institutionnelle tout en reflétant le dynamisme de la vie politique en Algérie, car elles garantissent la participation politique des citoyens et la vie parlementaire à travers leurs représentants dans les assemblées locales. Il a souligné que ces élections se déroulent loin de l'argent politique corrompu pour éviter les violations survenues dans les étapes précédentes de cette expérience, car les conditions stipulaient que le candidat ne devait pas être connu pour ses liens avec des cercles corrompus ou des classes soupçonnées de traiter de l'argent corrompu. Nous reviendrons dans notre prochaine édition sur les résultats de ce scrutin.