Les cyberpropagandistes qui se prennent pour des opposants d'outre-mer, ont perdu complètement leur «influence». Cette influence concoctée par des officines étrangères et des forces occultes, se révèle en plein jour,comme n'ayant été qu'une pétarade dans une eau, sans effet quelconque. Depuis des semaines, le groupuscule appartenant à l'organisation obscurantiste de Rachad, ne cessait de publier des vidéos accompagnées de quelques mensonges soigneusement fomentés pour faire en sorte de galvaniser les esprits dans la perspective d'occuper la rue par millions le jour de la date symbolique du 5 octobre. Une véritable campagne a été menée par les sbires de Rachad via les réseaux sociaux. Cette campagne se voulait comme le starter qui allait remettre les pendules à l'heure du «Hirak» comme cela était présenté dans leurs pages Facebook et leurs sites. La journée du 5 octobre est passée sans aucun incident, c'était une journée ordinaire avec un temps ensoleillé et une dynamique de bonhomie qui se fait remarquer le long de ladite journée. Les fantasmes qui ont été nourris par les sbires de l'interventionnisme et alimentés par leurs mentors de l'étranger, n'ont pas résisté longtemps, ils se sont évaporés dans le ciel azuré d'Alger et son air printanier et balsamique. Les affidés de la nébuleuse de Rachad n'ont pas trouvé quoi dire, sinon que de pestiférer les Algériens et les Algériennes en les traitant de toutes les obscénités et des vulgarités. Le 5 octobre s'est transformé en une journée de deuil et une véritable «nakba» pour ces promoteurs de la déstabilisation et l'anarchie dans les pays souverains et indépendants en visant leurs armées et leurs Etats-nationaux respectifs, Le constat est amer, le recul drastique et manifeste de la mobilisation sur le terrain, a mis les affidés de l'organisation islamiste et obscurantiste de Rachad dans une posture le moins que l'on puisse dire, caricaturale. La mégalomanie et l'arrogance de la nébuleuse rachadiste a fait comprendre à ses sbires et mercenaires que le peuple est gagné à leur logique anachronique et que le Mouvement populaire du 22 février 2019 est l'oeuvre de leur organisation qui a perverti ledit mouvement en l'implosant de l'intérieur pour le transformer en une véritable nébuleuse nommée «Hirak» 2 à la solde des forces occultes tirant les ficelles de l'extérieur. Le groupuscule rachadiste qui bénéficiait du soutien du Makhzen marocain en contrepartie d'une propagande malsaine, déloyale et mensongère à l'égard de son pays d'origine, a été rapidement démasqué par les Algériens et les Algériennes qui suivaient les lives et les publications haineux. Ce dérapage et cette traîtrise et lâcheté ont participé dans la dégringolade de la nébuleuse rachadiste sur les réseaux sociaux d'une manière spectaculaire. Il faut dire que l'«influence» de ce groupuscule ne se faisait sentir qu'à travers l'espace virtuel, c'était la période où le pays connaissait une dynamique populaire historique. Ces charognards ont surfé sur la vague du Mouvement populaire pour se faire un chemin et une raison politique des plus macabres. L'élan populaire commençait à perdre de sa force mobilisatrice avec le temps, mais surtout avec les évolutions politiques qui le sous-tendaient, au fur et à mesure que les revendications scandées par la majorité des Algériens trouvaient satisfaction. Mais les forces occultes qui ont instrumentalisé des organisations qui sont sous leurs bottes, ont voulu que la situation dérape pour favoriser le climat de l'anarchie et de la violence dans le but de réunir les conditions d'une intervention en bonne et due forme au nom de la «démocratie» et des «droits de l'homme». Ce plan n'a pas marché, il fallait trouver d'autres sornettes et supercheries pour galvaniser les masses en les bourrant de mensonges et de calomnies à l'égard de l'Etat national et de son armée. Cette rengaine usitée et utilisée en Libye, le Yémen et la Syrie, n'a pas eu l'écho escompté par les puissances étrangères qui se cachent toujours derrière les sous-fifres et les mercenaires rachado-makistes et d'autres sbires qui s'inscrivent dans le même sillage desdites nébuleuses inféodées aux étrangers.