Compte tenu et malgré les graves violations de mes droits fondamentaux, ma volonté, ma détermination et ma dignité conjuguée m'oblige à m'adresser à vous M. le président de la République. En souhaitant que la vérité soit connue et justice rendue après que la balance n'eut faussé par la providence de tricheurs et de menteurs de tous bords jusqu'à montrer l'imperfectibilité de la justice dans l'affaire qui a fini par devenir pour moi une obsession. Bien que les preuves intangibles soient à ma disposition, j'ai fait appel à la justice car elle a pour tâche et mission de rappeler à tous les exigences de la morale et celle de droit, de traduire et d'exprimer les aspirations des justiciables isolés ou privés de parole. Et ce, pour but de faire progresser la loi, d'assurer sa force, sa raison et de l'appliquer telle qu'elle est écrite. Même si cela dérange ou déplaît, ceux qui continuent à se croire au dessus de la loi. Cependant, et avec beaucoup de regret, voilà plus de deux décennies que je mène un combat face à des gens armés de faux et usant de faux documents dont la falsification criante n'a pas été prise en considération par les différents paliers de la justice auxquels j'ai recouru vainement et inutilement. Il se trouve que les gens qui m'ont spolié injustement de mes biens grâce à de faux documents et en usant de leurs titres d'élus et de magistrats. Je n'ai pas obtenu gain de cause bien que les éléments constitutifs sont là pour démontrer l'arbitraire et l'injustice. L'objet du litige est une parcelle de terrain située à Ouled Slama, daïra de Bougarra dans la wilaya de Blida. Au compte de quoi, aujourd'hui, il existe deux actes de propriété ? Le premier est authentique et concerne trois personnes (Abdelkader Kouider et Ahmed le second, par enchantement est transcrit au nom de Mohamed). Un jeu malhonnête consistant à faire valoir que seuls Kouider et Ahmed sont héritiers au détriment d'Abdelkader et ses héritiers. Les éléments ayant aidé pour que se fasse cette grave forfaiture sont à ma disposition comme je détiens les documents authentiques. Lesquels ont à chaque fois remis à la justice, cependant pour des considérations qui violent la loi ils n'ont pas bénéficié de ce que de droit. Pour ces raisons et vu les passe-droits et le parti pris flagrant, je me trouve aujourd'hui dans l'obligation de m'adresser au premier magistrat du pays afin que la vérité soit connue et justice rendue car à 75 ans, le combat face à des gens au-dessus de la loi devient plus compliqué vu mon état de santé. M. Abdallah Ahmed, Ouled Slama, Bougerra, Blida