Trois nouveaux partis politiques ont été agréés par le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales, a annoncé hier le ministère dans un communiqué, alors que sept autres formations ont été autorisées à tenir leur congrès constitutif. Les partis agréés sont : le Parti algérien vert pour le développement (PAVD, secrétaire général Amara Ali), le Parti des fidèles à la patrie (PFP, président Mostefa Kamel) et le Front démocratique libre (FDL, président Brahmi Rabah), a précisé le ministère. “Dans le cadre de la poursuite de l'examen des dossiers d'agrément des partis politiques, déposés au ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales, et en application des dispositions de la loi organique n°12-04 du 12 janvier 2012 relative aux partis politiques, le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales a délivré des arrêtés d'agrément au profit de trois partis politiques", a-t-il indiqué. Les sept nouveaux partis politiques ayant “rempli les conditions légales" qui ont été autorisés à tenir leur congrès constitutif sont : le Mouvement national des travailleurs algériens (responsable Hadidi Salem), le Parti du renouveau et du développement (responsable Taïbi Assyr), le Médiateur politique (responsable Larouci Rouibat Ahmed), le Parti nouvelle génération libre (responsable Touhami Abdelghani), le Parti de la voie authentique (responsable Sellam Abderrahmane), l'Union nationale pour le développement (responsable Gheraba Mahfoud) et le Front pour le développement, la liberté et l'égalité (responsable Yennoune Tayeb), a précisé le ministère. “Dans le cadre de la poursuite de l'examen des dossiers de création des partis politiques, déposés au ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales, et en application des dispositions de la loi organique n°12-04 du 12 janvier 2012 relative aux partis politiques, les membres fondateurs des partis politiques, dont les dossiers ont rempli les conditions légales, ont été autorisés à tenir leur congrès constitutif", a ajouté le communiqué. Le ministère de l'Intérieur rappelle, en outre, que l'examen d'autres nouveaux dossiers de création de partis politiques se poursuit.