En ce mois de septembre, période réputée pour être celle de la constitution des dossiers administratifs et des inscriptions scolaires, le timbre postal destiné aux envois des courriers locaux, dont la valeur n'est que de cinq dinars, est introuvable dans plusieurs guichets d'Algérie Poste. Et comme la pénurie sourit toujours au marché informel, ce timbre est cédé à la criée chez de jeunes revendeurs pour une valeur de… 20 dinars ! Comme quoi, rien ne pourrait échapper à la spéculation.