Bordj Bou-Arréridj : Meurtre du gardien de nuit d'un chantier à El Achir Le 28 juin 2014, un gardien de nuit dans un chantier de construction à El Achir, 10 km de Bordj Bou-Arréridj, avait été retrouvé mort dans la cave d'un des immeubles en construction. Dix mois plus tard, l'ADN d'un collègue a parlé. Jeudi dernier, un autre gardien répondant aux initiales de M. I., 57 ans, a été placé sous mandat de dépôt pour meurtre de son collègue. La victime, T. S., 44 ans, a été tuée dans la nuit du 27 au 28 juin 2014 et dont on n'a jamais retrouvé le meurtrier. Le corps sans vie avait alors été découvert dans la cave d'un immeuble en chantier, où il travaillait comme gardien de nuit. Dans la cave, pas de trace de lutte. Deux préservatifs utilisaient ont été découverts sur les lieux et pendant des mois, les enquêteurs de la PJ avaient tenté de percer le mystère. Les traces ADN retrouvées sur l'un des préservatifs sont celles du suspect de 57 ans, qui vient d'être identifié et arrêté.Cet homme avait déjà été entendu à l'époque du meurtre, en juin 2014, en raison de sa proximité des lieux, ce qui avait intrigué les enquêteurs de la brigade de gendarmerie d'El Achir. Chabane BOUARISSA Skikda : De fausses statuettes de pharaons saisis Des policiers de la brigade de protection du patrimoine culturel de la Sûreté de wilaya ont réussi à arrêter deux individus âgés de 37 et 38 ans pour escroquerie. Ils possédaient des statuettes qu'ils faisaient passer pour des objets d'une valeur historique. Selon la cellule de communication de la Sûreté de wilaya, le service spécialisé de la police a reçu des informations sur l'existence d'une bande qui se spécialise dans la vente de faux d'objets archéologiques. Ils exposaient à la vente deux statuettes qu'ils prétendaient être des modèles originaux du pharaon Toutankhamon et son épouse Nerfertiti contre une somme de 2,8 milliards de centimes. Après investigations, les policiers ont réussi à identifier le premier suspect qui est tombé dans la souricière tendue en flagrant délit de possession de ces deux statuettes dans la commune de Bouchetata, 20 km à l'ouest de Skikda. L'enquête a permis d'identifier et d'arrêter un deuxième suspect. La brigade de protection du patrimoine culturel a remis les statuettes à la direction de la culture pour effectuer une expertise sur les prétentions des arnaqueurs qui a conclu à des imitations sans valeur historique et artistique. Les deux suspects ont été présentés, ce jeudi, devant le procureur de la République près le tribunal de Skikda qui leur a délivré des convocations à comparaître en citation directe. A. Boukarine BATNA : Une catastrophe aérienne évitée de justesse L'avion du vol 62/31 d'Air Algérie reliant Alger à Tébessa s'est posé en urgence, hier matin à l'aéroport de Batna aux environs de 9h55, évitant une nouvelle catastrophe aérienne. Des employés à l'aéroport de Batna rapportent que l'avion ATR (à hélices) avait émis des signaux de détresse à l'approche de l'espace aérien de la capitale des Aurès, Selon toute vraisemblance un des deux moteurs de l'avion serait tombé en panne. Si l'équipage a réussi à se poser sans le moindre dégât en dépit de la brutalité du choc, les 62 passagers ont cependant eu une terrible frayeur. Parmi les voyageur se trouvent des femmes, des enfants et des personnes âgées, dont 3 ont été évacués en urgence après avoir attendu qu'une ambulance arrive de la commune de Seriana, qui se trouve à plus de 20 km de l'aéroport. Il est a signaler, qu'en fin de semaine, vendredi, l'aéroport de Batna est presque vide, avec un service d'urgence interne absent. HAMATOU RACHID Un jeune homme met fin à ses jours par pendaison Le quartier périphérique de Oued Maïz a été mis en émoi ce week-end par un drame qui a eu lieu dans une habitation précaire implantée derrière la cité des 450 logements sociaux, face au lycée Benmahdjoub. Selon la cellule de communication de la Protection civile de Guelma, un jeune homme âgé de 25 ans, a été découvert pendu à une poutre de la masure. La dépouille a été évacuée à la morgue de l' EPH docteur Okbi et une enquête a été déclenchée par les éléments de la police judiciaire relevant de la Sûreté de wilaya. HAMID BAALI