M'Sila : Arrestation de 5 immigrants clandestins Un groupe de 5 immigrants clandestins, originaires du Mali, du Cameroun et du Ghana, a été arrêté en début de semaine par la Gendarmerie nationale, a indiqué la cellule de communication du groupement de gendarmerie. Ces immigrants se seraient introduits sur le territoire national sans autorisation. Les deux ressortissants maliens qui étaient à bord d'un taxi assurant la ligne Tiaret-Sétif ont été conduits à la brigade de gendarmerie Bouti-Sayeh, et les trois autres ressortissants du Cameroun et du Ghana ont été conduits à la brigade Mohamed-Boudiaf où une procédure judiciaire a été ouverte. Ils ont été présentés, en comparution immédiate, devant la justice pour immigration clandestine et séjour illégal sur le territoire national. Les deux Maliens ont été condamnés par le tribunal de Sidi Aïssa à 2 mois de prison avec sursis et une reconduite à la frontière. Les trois autres, jugés par le tribunal de Bou-Sâada, ont été condamnés à 6 mois de prison avec sursis et une reconduite aux frontières. C. B. Aïn Taya (Est d'Alger) : Les habitants se plaignent des abattoirs illicites Les habitants de Aïn Taya (est d'Alger) se plaignent des odeurs nauséabondes provenant des poulaillers et abattoirs installés sans autorisation à Suffren et à Diar El-Gharb. Selon les témoignages, la forte chaleur ce début de printemps a aggravé la situation. "L'été arrive à grands pas et on craint le pire. Où sont les services concernés de l'APC et où sont les contrôleurs de la DCP ?", se sont interrogés les habitants de Aïn Taya (circonscription de Dar El-Beïda), sur la côte est d'Alger. N. Z. AKBOU : Un enfant trouve la mort dans la piscine de l'Opod La population de la daïra d'Akbou est sous le choc. Un enfant de 6 ans, Walid B., a trouvé la mort par noyade dans la piscine de proximité de l'Opod (Office du parc omnisports de daïra) d'Akbou. Le drame a eu lieu vendredi 31 mars dernier vers 15h30, lorsque la victime, un adhérent au club de natation de cette infrastructure sportive, sise au quartier Guendouza (Akbou), s'est noyé subitement et avait atteint le fond de la piscine. Son corps inerte a été repêché avant d'être transféré aux urgences de l'hôpital Akloul-Ali d'Akbou. En dépit des efforts déployés par l'équipe médicale en vue de le réanimer, Walid a rendu l'âme, déplore une source hospitalière. La nouvelle de sa mort qui s'est répandue telle une traînée de poudre n'a pas manqué de jeter l'émoi chez la population de la région. Les obsèques du défunt ont eu lieu hier au cimetière de Guendouza, en présence d'une foule nombreuse et dans un climat de consternation générale. À noter que le directeur de l'Opod d'Akbou, dont la gestion de cette structure sportive a été déjà décriée par la vox populi, a été pointé du doigt par les habitants du quartier de Guendouza, qui viennent d'ailleurs d'initier une pétition exigeant son départ "immédiat et inconditionnel" ainsi que l'ouverture d'une enquête devant faire la lumière sur cette mort mystérieuse. Même les réseaux sociaux se sont enflammés à ce propos. Certains Akbouciens l'accusent ouvertement, à travers leurs pages Facebook, d'avoir transformé l'Opod en une entreprise familiale, où l'une de ses filles a été recrutée comme monitrice. Kamal Ouhnia