Pour nos responsables, la capitale “utile” s'arrête à Ben Aknoun. De là, pour rejoindre toutes les grandes agglomérations (Oued Romane, El-Achour, Draria, Baba Hassen, etc.) de la wilaya d'Alger, les taxis n'existent pas. Et comme la nature à horreur du vide (surtout entretenu), les clandestins s'en donnent à cœur joie et augmentent leurs tarifs chaque jour sur ces trajets. Alors qu'il s'agit simplement d'actes organisationnels sans investissements ruineux pour créer des lignes réglementaires de taxis, les citoyens se demandent pourquoi l'administration laisse l'incurie s'installer. Curieux, non ?