jijel réouverture du bureau de poste des aftis Les responsables d'Algérie Poste ont procédé, récemment, à la réouverture du bureau de poste de la localité des Aftis, dans la commune d'El Aouana, wilaya de Jijel. Notons que ce bureau a été fermé depuis plus de dix ans. Ce qui a pénalisé les habitants de cette localité pendant des années. En effet, ces derniers étaient obligés de se déplacer jusqu'à la ville d'El Ouana pour récupérer les mandats et leurs courriers. Ainsi, ils déboursaient 50 DA en transport pour acheter un timbre fiscal de 5 DA. Actuellement, et avec la réouverture de ce bureau, situé en plein centre de la localité, à proximité de la RN 43, c'est le grand soulagement pour les habitants qui sont satisfaits des prestations des agents du bureau. M. Bouchama annaba Quatre hectares de terrain industriel détournés Après celui des discothèques implantées à Annaba, une nouvelle affaire vient d'éclater. Il s'agit d'un détournement de foncier public, soit quatre hectares industriels, révèlent des sources crédibles. En effet, faisant fi de la résolution 03/48 du 22 décembre 2004 du Conseil des participations de l'Etat (CPE), présidé par le chef du gouvernement, et de l'article 85 de la loi des finances pour 2005 qui stipule en outre “les actifs excédentaires des entreprises publiques sont récupérées par l'Etat et versés au domaine national”, une entreprise publique, dont le siège et les activités ne sont plus domiciliées à Annaba, a procédé à la fin de l'exercice 2005, précisent nos sources, à la vente illicite d'un terrain industriel vierge de quatre hectares, sis à la zone d'activités industrielles d'El-Bouni. Il faut rappeler dans ce contexte, que l'Etat avait mandaté les wilayas pour veiller strictement à l'application de ces résolutions. Paradoxalement, cet état de fait, qualifié de “détournement de foncier public” a été bel et bien dénoncé. Mais cela n'a malheureusement pas retenu l'attention des responsables concernés. B. BADIS manque d'eau à zitouna (el tarf) la détresse des habitants Les habitants de la commune de Zitouna, dans la daira de Tarf, se plaignent du manque d'eau qui se fait rudement sentir bien que les précipitations sont nombreuses depuis le mois d'octobre. Rappelons au passage que cette municipalité se trouve à une quinzaine de kilomètres du chef-lieu. En effet, le degré de salinité est très important et les mechtas disséminés ça et là — Fedj, Sllam, Loulidja — sont contraints d'avoir recours aux sources naturelles et aux puits où l'eau n'est pas toujours propre à la consommation ou non stérilisée d'où le risque présent et incontournable d'épidémie. La commune a bénéficié d'un important projet d'une dizaine de puits qui sont opérationnels et trois renferment une eau de goût saumâtre. Ce qui contribue à enregistrer chez les habitants une hypertension surtout chez les personnes âgées. Les habitants du chef-lieu qui reçoivent l'eau de Bounamoussa subissent le même calvaire et attendent avec impatience une solution qui leur permettrait de boire une gorgée d'eau sans une certaine appréhension et des remords qui conditionnent leur état ce santé. Tahar B.