L'Algérie a déployé des efforts considérables en matière des droits de l'Homme et de la liberté de culte. A ce sujet, notre pays compte parmi les premiers pays dans le continent arabo-musulman et en Afrique où les libertés de pensée, de conviction ou de religion sont respectées et ne font l'objet d'aucune interdiction. Contrairement à ce qu'a été rapporté par certaines organisations non gouvernementales (ONG) et les mensonges de certains pseudo-défenseurs des droits de l'Homme, l'Algérie a toujours respecté la liberté de pensée ou la pratique ou non d'une éventuelle religion. Jusqu'à preuve de contraire, même les athées n'ont jamais été inquiétés, ni par les croyants ni par les autorités. A ce titre, le défi est lancé à quiconque de nous donner un seul cas de personne qui a été interpellée pour avoir pratiqué ou pas de religion. Depuis l'indépendance et jusqu'à ce jour, seuls des rares cas ont été signalés mais sans gravité. Ces cas ont été signalés dans le passé, surtout pendant les mois de Ramadhan où les autorités ont été contraintes d'intervenir à la suite de plaintes de citoyens. C'est le cas également pour une affaire qui s'est déroulée en Kabylie il y a plusieurs années, entre des citoyens de la même région qui se sont disputés sur un lieu où devait se construire une église. Il est tout à fait clair que les autorités locales ont été obligées à l'époque d'intervenir pour rétablir l'ordre et d'éviter à ce que l'incident ne se développe et s'aggrave. Afin de souiller l'image de l'Algérie et de donner l'occasion à des «gendarmes de ce monde» d'épingler notre pays, certains représentants d'organisations douteuses donnent des fausses informations au sujet du respect des droits de l'Homme et en matière des libertés de culte. Dans un passé encore récent, même le département d'Etat américain a dans son rapport apporté des critiques envers l'Algérie, indiquant que la liberté en matière de religion s'est détériorée. Dans le même rapport, l'Algérie a été confondue avec la Jordanie, l'Egypte et la Chine. Cet état de fait est une réplique à une loi de 2006 qui criminalise le prosélytisme sans autorisation. Malgré cette loi, aucune église n'a été fermée à l'exception d'une femme qui fut interpellées en possession de plusieurs exemplaires de bibles. Il est de même pour une affaire dans la wilaya de Tiaret dont une personne a été condamnée par le tribunal mais avec sursis. Malgré les protestations de certains intégristes, l'Etat a toujours respecté la liberté de culte que ce soit pour les citoyens algériens ou les étrangers. Aucun cas de condamnation n'a été signalé et la pratique de la religion demeure libre et au choix typiquement privé. Les lieux de culte, mosquées et églises, sont ouverts et même les synagogues seront autorisées à exercer prochainement, selon le ministre des Affaires religieuses. Cependant, les lois de la République devraient être appliquées à la lettre à l'encontre de ceux qui se sont autoproclamés «défenseur de Dieu» et qui veulent imposer aux Algériens leurs idéologies par la force. En somme, des progrès et des efforts énormes ont été déployés par l'Algérie en matière de droits de l'Homme et des libertés de culte et aucune atteinte n'a été enregistrée durant ces dernières années.