L'Algérie, déposera le 7 septembre courant auprès des Nations Unis une motion, qui vise à interdire aux pays membres de l'ONU, toutes transactions qui permet de libérer des terroristes contre des rançons. Déjà la France, n'est pas à sa première transaction pour libérer ses espions détenus par des groupes armés dans le Sahel. La France n'a pas hésité à répondre favorablement aux exigences des terroristes, et a entraîné avec elle le gouvernement du Mali, probablement en contrepartie de certains avantages. Cette motion a été commentée par le gouvernement sioniste de Tel-Aviv, comme une entrave dans ses démarches pour libérer le soldat Galaât Chalit détenu par la résistance Palestinienne Hamas depuis 2006. Mais l'Algérie, exclu dans sa motion, les pourparlers et négociations pour les échanges de prisonniers de guerre détenus dans les deux camps. Donc, il ne reste à ‘'Israêl'' que de reconnaître la qualité de prisonniers de guerre, aux milliers de Palestiniens (nes) détenus dans ses prisons, ainsi que le soldat sioniste Galaât Chalit ou agir rapidement dans les sens d'échanges de prisonniers avant l'approbation du projet algérien par les Nations Unis. Un vrai casse tête a été détecté cette semaine à Tel-Aviv et auprès des intermédiaires Allemands et Egyptiens, qui semblent travailler sans relâche ces jours-ci pour réussir l'opération de l'échange des prisonniers.