S'il était besoin de mots pour qualifier le regretté Abdelkebir Khatibi, ce seraient : « intellectuel global ». Entré dans le monde de la littérature par un roman, La mémoire tatouée (1971), il n'a pas tardé à révéler d'autres talents authentiques : (...)
Abdelkébir Khatibi n'a jamais distingué ces disciplines artificiellement, pour le simple plaisir de rallonger la liste de ses «qualifications». Elles ne constituaient pas pour lui des univers étanches, séparés les uns des autres par l'épais voile de (...)