C'est le branle-bas de combat depuis la résurgence de la fièvre typhoïde à Djelfa. L'Algérienne des eaux reste sur ses gardes à la moindre alerte qui avertirait d'une simple suspicion d'odeur dans l'eau potable fournie par son réseau. Et bien que les appels se multiplient dans ce sens, l'ADE n'en sous-estime aucun. C'est le directeur de l'unité qui non seulement y répond, personnellement mais bien plus, il se rend aussitôt sur le lieu incriminé, accompagné de ses laborantins afin de prendre un échantillon et l'analyser dans les heures qui suivent.