L'APC de Chlef vient de dégager une enveloppe de 1,8 milliard de centimes pour la remise en l'état et l'extension du couvert végétal à travers la création de nouveaux espaces verts et la réhabilitation de ceux existants. L'opération a déjà commencé au centre-ville et dans certains quartiers périphériques ; elle a touché, dans un premier temps, le giratoire de la trémie, la stèle de la chahida Hassiba Benbouali, le jardin de la cité administrative ainsi que l'espace de l'agglomération de Hamadia et ceux de l'hôpital et de la cité AADL de Chorfa. En parallèle, il a été procédé à de nouvelles plantations le long des tronçons de la RN 4 et 19 et des artères principales de la ville. Selon le SG de l'APC, l'objectif de cette intervention consiste à remplacer « les arbres malades et sauvages » par des espèces ornementales résistantes et adaptées à l'environnement et au climat de cette région. Transformation de la forêt Abondant dans le même sens, le président de l'APC a fait savoir que le choix des arbustes répond parfaitement aux exigences et aux besoins de la ville, précisant que l'action revêt une importance particulière pour les élus et la population locale. Il annoncera que des opérations similaires seront lancées sous peu dans les cités environnantes, telles que Ouled Mohamed, Haï Radar, Chorfa, Haï Salem, Haï El Houria et Haï Bensouna. L'autre projet, et non des moindres, porte sur le réaménagement et la transformation de la forêt de Haï Radar en parc récréatif sur une superficie de 65 hectares. L'étude et la réalisation ont été confiées à l'APC qui a déjà entamé les démarches pour exécuter l'œuvre dans les délais prescrits.