Très surpris d'avoir été cité par votre envoyé spécial à Munich dans un article publié dans votre livraison du 12 mai 2009, je vous prie de bien vouloir, en vertu de mon droit de réponse, insérer la présente mise au point dans votre journal. Tout d'abord, je voudrais porter à l'attention de vos lecteurs que votre envoyé spécial faisait partie, comme moi-même, d'une délégation composée de représentants de médias, invités à Munich par le constructeur automobile BMW. Alors qu'il eut été logique de s'en tenir à l'objet de notre visite à Munich et par conséquent de consacrer son article exclusivement à la découverte de la firme allemande, votre envoyé spécial m'a cité à quatre reprises en me prêtant des propos que je n'ai pas tenus. Bien plus, il s'est laissé aller à qualifier à plusieurs reprises et de manière désobligeante des sensations personnelles et intimes que j'aurai eues, comme d'autres confrères du reste, devant la technologie des véhicules qui nous étaient présentés par la firme allemande. Je ne comprends pas les motifs ayant déterminé votre envoyé spécial à me singulariser du reste du groupe de journalistes et à parler ainsi de ma personne dans cet article à caractère technique consacré aux véhicules BMW.