Le manque d'eau potable et le pitoyable état dans lequel se trouve le chemin reliant leur douar à El Eulma sont les principales causes de leur «déprime». Ils s'expliquent mal les deux poids deux mesures des responsables. «Contrairement à notre douar qui est mis en quarantaine, les hameaux avoisinants ont tous vu leurs routes réhabilitées et leurs demeures raccordées au réseau d'AEP. Dire que nous avons frappé en vain à toutes les portes!» déclarent, non sans colère, les citoyens qui interpellent le premier responsable de la wilaya pour atténuer les souffrances de ce hameau qui se morfond dans le dénuement total.