Le produit des taxes et des recettes locatives provenant des marchés, gares routières, salles de cinéma, stades, parkings, logements, kiosques, terrasses de salons de thé, billetterie et droit de voirie, n'arrive même pas à honorer la rémunération du personnel dont la masse salariale représente les 78 pour cent du budget. Pour rétablir l'équilibre, les responsables et élus locaux ont pris la décision d'augmenter les loyers et taxes non réactualisés depuis plus de 20 ans. Le cas de certains magasins ou logements dont les locataires continuent de s'acquitter de la modique somme de 600 dinars, représentant le loyer mensuel, a été décrié à maintes reprises. Tout comme les salles de cinéma, dont certaines ont été détournées de leur vocation. D'autres décisions ont été également prises pour opérer un contrôle de tous les locaux du patrimoine communal.