Suite à l'article paru à El Watan en date du 08/02/2010 page 10 sous le titre « Une femme sauvée in extremis », mettant en cause notre image de marque, nous vous demandons en vertu de notre droit de réponse de bien vouloir insérer au même lieu et place la mise au point suivante : Le principe fondamental et universel d'une part, et les procédures régissant le fonctionnement de notre entreprise d'autre part font que pour le cas présent, nul ne peut subir une sanction aussi anodine soit-elle s'il n'a pas commis une faute avérée. Le dispositif disciplinaire est notamment précisé au niveau du règlement intérieur de l'entreprise dûment déposé au niveau de l'inspection du travail et enregistré auprès du tribunal. Ce document est remis à titre individuel à chaque travailleur. L'éthique et les principes régissant la presse de façon générale, et votre quotidien de façon particulière, nous amènent à nous interroger sur les motivations et les sources de votre journaliste en rapportant des faits et des affirmations infondées tel que vous le constaterez ci-après. La nature de la faute : celle-ci est loin d'être « une affaire purement administrative portant sur un manque de documents », comme cela a été faussement rapporté. Il s'agit de falsification de documents administratifs induisant une perception indue d'indemnités par un agent chargée de veiller à la bonne application des procédures. L'agent concernée n'occupe pas le poste de secrétaire comme votre journaliste le rapporte faussement. Elle occupe le poste de gestionnaire du personnel avec notamment l'obligation de veiller à la stricte application des règles de gestion. La Protection civile avec laquelle nous entretenons d'excellentes relations n'a eu à aucun moment à intervenir comme vous l'affirmez faussement encore une fois. Naturellement tout ce qui a été « brodée dans ce scoop » sur ce point n'a aucun fondement. Enfin, l'agent concernée, Dieu merci, se porte bien et n'a subi aucun préjudice physique aussi minime soit-il. Le directeur des ressources humaines