Les plaignants disent être « des fonctionnaires qui vivent avec leurs familles dans des conditions déplorables ». Des souscripteurs locaux du Fonds national de péréquation des œuvres sociales (FNPOS) sont dans l'expectative. Des préposés au guichet décentralisé de cet organisme leur ont « signifié une rupture (unilatérale ?) du contrat », font savoir des plaignants dans une lettre remise à la presse. « Nous avons pourtant avancé depuis mai 2008 les sommes exigées soit 300.000 dinars chacun en plus des décisions d'éligibilité à la CNL ». « Le calvaire dure depuis 2003 », ont-ils déclaré, en ajoutant : « l'attente dure depuis 2004 sans qu'il y ait délivrance ». Les plaignants disent être « des fonctionnaires qui vivent avec leurs familles dans des conditions déplorables ». Les allers-retours vers la direction régionale de Chlef et nationale à Alger n'ont pas atténué les appréhensions. A vrai dire, la gestion du dossier FNPOS à Tiaret ne suscite pas l'agrément du wali. Ce responsable avait, pour rappel, vertement dénoncé ses gestionnaires lors de la dernière session de l'APW.