Alger-Centre : La rue Portalis fermée Les habitants de la rue Tanger ( Chaïb Ahmed), dans la commune d'Alger-Centre, se plaignent de la fermeture d'une rue à la circulation. L'entreprise du métro d'Alger (EMA) a engagé, depuis un moment, des travaux à la rue Portalis, réduisant davantage les espaces dans cette partie de la ville. « Auparavant, les habitants pouvaient stationner à cet endroit. Ce n'est plus le cas avec l'installation du chantier de l'EMA. Pour se convaincre de cette situation désolante, il faut faire un tour dans cette partie du centre-ville, la police a pris la peine d'installer partout des plaques interdisant le stationnement. Pour garer nos voitures, on nous oblige à faire un énorme détour, moi je gare à plus de 2 km de chez moi, c'est désolant », s'indigne un riverain de la rue Portalis, où des travaux pour l'extension du métro vers la place des Martyrs sont engagés. L'entreprise du métro d'Alger qui a engagé des travaux un peu partout dans cette partie de la ville, a pris toutefois la peine de demander « l'indulgence » des riverains à travers des communiqués placardés au bas des immeubles. Belouizdad : Une journée de sensibilisation sur la drogue L'Association sportive des médecins d'Alger a organisé, durant le week-end, une journée de sensibilisation sur la drogue et la toxicomanie, au stade 20 Août, à Belouizdad. Cette manifestation a été organisée en collaboration avec la cellule de protection et de prévention contre la drogue de la Sûreté nationale. Elle était destinée essentiellement aux jeunes des quartiers de Belouizdad et de Hussein Dey. La manifestation a consisté notamment en un tournoi avec plusieurs équipes de football. Les missions de la cellule de sensibilisation ont été expliquées aux mineurs. Transport : Anarchie à la place des Martyrs La reconfiguration de la place des Martyrs, depuis le lancement de travaux à cet endroit, agace les habitués. En dépit de la cohorte de policiers en faction dans cet endroit de la vieille ville, les transporteurs et autres vendeurs à la sauvette n'en font qu'à leur tête. « Pour aller d'un endroit à un autre, il faut risquer sa vie, les chauffeurs de bus démarrent en trombe sans se soucier des piétons », s'indigne-t-on.