Un jeune perd son bras dans une action de désinfection à Chlef Un drame a émaillé ce jeudi à 15 h 30 l'opération de désinfection du quartier Sid Ali Aichoun, dans la commune d'El Karimia, wilaya de Chlef, dans le cadre de la prévention contre la pandémie de coronavirus, a annoncé dans un communiqué le service de communication de la direction de la protection civile de la wilaya. En effet, un jeune volontaire de 31 ans a vu son bras gauche arraché par l'atomiseur attelé à un tracteur lors de ladite intervention, a ajouté la même source, précisant que la victime est le conducteur du tracteur en question. Celle-ci a reçu les premiers soins sur le lieu de l'accident avant d'être évacué par les éléments de la protection civile vers l'hôpital Ouled Mohamed de Chlef, signale-t-on encore Saisie de 3000 bavettes et camisoles à Sétif L'exploitation de renseignements faisant état de l'implication d'un individu dans la vente illégale de bavettes médicales, les éléments de la Brigade économique et financière de la sûreté de wilaya de Sétif se sont mis à la poursuite de l'indélicat commerçant. Sans autorisation, le « fabricant» produisant les bavettes pour les revendre à 50 DA l'unité est arrêté la main dans le sac. Ainsi, l'opération s'est soldée par la saisie 2000 bavettes médicales non stérilisées, dont la fabrication ne répond à aucune norme sanitaire. Les enquêteurs ont confisqué l'outil de production des bavettes de la contrefaçon. Les mêmes services ont par ailleurs réussi à démanteler un atelier clandestin spécialisé dans la fabrication de combinaisons de protection médicales (camisoles). Le propriétaire de la «fabrique» ne disposait ni d'autorisation ni de registre du commerce. L'intervention de la police est arrivée au bon moment, puisque le «modéliste» allait, nous dit-on, livrer 1000 camisoles aux services hospitaliers d'une wilaya du centre de pays. A l'issue des investigations, des procédures judiciaires sont enclenchées à l'encontre des contrevenants, lesquels risquent gros, car ils sont poursuivis pour fabrication et vente illégale de produits para pharmaceutiques non conformes. Une femme accouche dans l'ambulance des pompiers à Skikda Une femme de 38 ans a accouché dans l'ambulance des pompiers, dans la nuit de mardi à mercredi, alors qu'elle était transportée en urgence vers l'établissement hospitalier de Azzaba , à l'est de Skikda, a-t-on appris auprès de la chargée de la communication de la Protection civile. C'est à 22h, mardi soir, que les pompiers de l'unité de Azzaba ont été appelés par les parents de la parturiente, résidant dans la localité de Zaouia. A leur arrivée, les pompiers ont immédiatement installé la future mère dans l'ambulance, mais en cours de route, et remarquant que le bébé n'allait pas tarder à arriver, ils ont vite réagi avec calme et professionnalisme pour faire accoucher la femme dans leur ambulance avant de l'évacuer par la suite à l'hôpital. Selon la même source, l'heureuse maman et son bébé, un garçon, se portent bien. Six personnes arrêtées pour cambriolages à El Tarf Les services de la brigade mobile de la police judiciaire (BMPJ) de la sûreté de wilaya d'El Tarf ont mis fin aux agissements de six auteurs présumés de cambriolages de locaux commerciaux perpétrés dans plusieurs localités de la wilaya, a-t-on appris du chargé de la communication à la sûreté de wilaya. Agissant sur la base d'une information faisant état d'activités suspectes d'un groupe d'individus, originaires d'El Tarf, les services de la BMPJ ont ouvert une enquête qui s'est soldée par l'arrestation d'un premier suspect, un récidiviste connu des services de police, a précisé le commissaire principal Mohamed-Karim Labidi. Ce suspect a fini par reconnaître les faits qui lui sont reprochés et dénoncé ses acolytes, a signalé la même source, ajoutant qu'en plus de l'arrestation des membres de cette bande, les policiers ont saisi le véhicule exploité dans leurs déplacements. Présentés par devant le magistrat instructeur près le tribunal correctionnel d'El Tarf pour «association de malfaiteurs» et «cambriolage», quatre parmi ces mis en cause ont été placés sous mandat de dépôt, tandis que les deux autres ont été mis sous contrôle judiciaire, a-t- on conclu de même source.