La joie des populations des communes de la wilaya, à l'instar de Aït Naouel Mezada, Maouklen, Tala Ifacen, Guenifa, Boutaleb, Bir Hadada, et bien d'autres, de voir de nouvelles structures sanitaires s'installer dans leurs patelins, n'a duré que le temps de l'émotion. Ces pauvres citoyens ne comprennent pas l'intérêt d'ouvrir des structures hospitalières ayant coûté des milliards, qui ne rendent pas de service aux gens. Selon le directeur de la santé, cette situation concerne les autorités communales, qui ne prennent pas en considération les problèmes du personnel d'encadrement. Le manque de médecins et d'infirmiers, qui fuient ces lieux, est la principale cause du manque de ressources humaines.