Vol de câbles électriques Un vol de câble à Rechaiga a plongé dans le noir, pendant plus d'une semaine, certains douars de cette localité. Pis, les villageois ne pouvaient même pas disposer de l'électricité pour puiser de l'eau de certains puits profonds. Des vols, souvent oeuvre de vraies bandes organisées qui, après avoir soustrait le cuivre, le découpent pour le revendre à certains individus rompus à cette filière. Des affaires gravissimes de ce genre, liées au câble téléphonique, avaient eu lieu et ont touché particulièrement Algérie Télécom. La dernière affaire en date a amené les services de la police judiciaire à arrêter deux mineurs qui venaient de voler du câble à Zaaroura, à proximité de la zone industrielle. 2 escrocs dans la mosquée Selon un communiqué du commandement de la gendarmerie, deux personnes, A.K, 33 ans, habitant Tousnina et son complice B.H, 41 ans, de Tiaret, ont été arrêtées suite à des investigations ayant conclu à leur implication dans l'utilisation de faux cachets qu'ils estampillaient au bas de documents pour soustraire de l'argent aux fidèles des mosquées de la région. Les mis en cause ont été déférés devant le magistrat instructeur qui a décidé de leur placement sous mandat de dépôt. Une affaire loin d'être banale quand on connaît cette rumeur couvée et véhiculée par la vox populi sur ces quêtes et cet argent qui circule et qui a valu aux services de police d'instruire une enquête. Le faux dévot sous les verrous Un jeune étudiant en théologie, B.K, 20 ans, de la medersa de Aïn Hedid, 75 Km à l'ouest du chef-lieu de la wilaya, a été arrêté avec son complice Z. B, âgé lui aussi de 20 ans, chômeur de son état, par les gendarmes de cette localité après le vol opéré dans un magasin mitoyen de l'école coranique ou étudiait le jeune « taleb ». Les mis en cause, qui habitaient Mechraa-sfa, ont préféré, pour les besoins de la sale besogne, employer la solution de facilité : creuser un trou depuis l'école, pénétrer dans le magasin pour emporter 150 000 dinars, 50 euros et des équipements électroménagers. Arrêtés le 5 janvier dernier, ils ont été présentés devant le magistrat instructeur près le tribunal de Frenda et écroués à la maison d'arrêt de cette daïra.